samedi 17 juillet 2010

Suède, Norvège, Angleterre: malades des viols

2 articles anciens mais indispensables:
le 1er de l'inénarrable Libé daté du 29/04/2009:

"La Suède malade de ses viols" qui réussit l'exploit de ne pas aborder le coeur du problème...

Chaque jour en Suède, une quinzaine de personnes portent plainte pour viol. «Les victimes sont de plus en plus jeunes. En 2006, deux tiers d’entre elles avaient moins de 30 ans. Plus de la moitié étaient ivres. Et la majorité n’avait jamais rencontré son agresseur, vingt-quatre heures avant le viol.» C’est le triste tableau que dresse Christian Diesen, professeur de droit à l’université de Stockholm et coauteur de l’enquête présentée hier à Bruxelles. Une étude qui révèle que la Suède est le pays européen où sont déposées le plus de plaintes pour viol, écornant au passage l’image d’une des sociétés les plus égalitaires au monde.

Selon les statistiques du Conseil national de la prévention du crime (BRA), 5 446 personnes ont porté plainte pour viol en Suède, l’an dernier. C’est près de 15 % de plus qu’en 2007, plus du double qu’en 2000 et près de quatre fois plus qu’en 1990. «Tous ceux qui travaillent avec les victimes de viol n’ont pu que constater cette augmentation», observe Asa Regnér, secrétaire générale de l’Association suédoise pour l’éducation sexuelle (RFSU). Mais en Suède, les explications varient.

Alcool. A l’hôpital Södersjukhuset, à Stockholm, le centre d’accueil d’urgence des victimes de viol a ouvert ses portes en 2005. Depuis, la fréquentation augmente en moyenne de 10 % par an. L’an dernier, le centre a accueilli 700 personnes. «Les victimes sont de plus en plus jeunes et plus de la moitié étaient ivres», affirme Lotti Helström, médecin-chef. Pourtant, elle n’est pas convaincue que la hausse du nombre de plaintes reflète l’augmentation des viols. Au contraire. «Les discussions sur le sujet, le durcissement de la loi, ainsi que l’ouverture du centre ont contribué à ce que ce ne soit plus aussi tabou et honteux d’en parler», dit-elle. «Si les chiffres sont aussi mauvais en Suède, c’est principalement parce que les victimes osent plus souvent porter plainte», explique Christian Diesen, soulignant que «ce n’est plus socialement stigmatisant de s’identifier à la victime d’un viol». La modification du code pénal, en 2005, y est pour beaucoup.

Avant, une agression sexuelle commise sur une personne en état d’impuissance, causé par une maladie, un handicap ou la consommation d’alcool, était considérée comme un abus sexuel et non comme un viol. En février 2003, une femme de 35 ans a été agressée pendant plusieurs heures par un groupe d’hommes, dans son appartement, à Tumba, dans la banlieue de Stockholm. Quatre personnes ont été arrêtées, puis jugées. Mais toutes ont été blanchies. Motif : la victime était dans un état d’ébriété avancé. L’affaire a fait scandale en Suède, précipitant une modification de la législation.

Mais si le nombre de plaintes a augmenté aussi rapidement, c’est aussi une conséquence de «la libération des femmes et de l’affirmation de leur droit à décider de leur sexualité, estime Christian Diesen. Aujourd’hui, les femmes en Suède considèrent qu’elles ont le droit de dire non à n’importe quel moment d’un rapport et qu’une relation forcée, même sans menace ou violence, est un viol qui doit faire l’objet de poursuites.» Les jeunes filles sont souvent les premières concernées. «Faute d’expérience, elles considèrent que cela va de soi de dire non en cours de route, mais ce n’est pas toujours le cas», commente Lena Josefsson, présidente d’une association d’aide aux victimes de violence.

«Arène». La Suède, précise-elle, se trouve dans «une période de transition» : si l’égalité des sexes existe en théorie, ce n’est pas toujours le cas dans la pratique. «La sexualité est une arène où il faut plus de temps pour obtenir l’égalité que dans l’espace public», explique la sociologue Lena Berg. Chercheur au Conseil national de la prévention du crime, Klara Hradilova-Selin ne peut s’empêcher de mettre en garde contre des comparaisons internationales. Elle reconnaît cependant que l’évolution des mœurs a sa part de responsabilité dans l’augmentation des viols. Elle évoque notamment une «vie nocturne riche, des rencontres sur Internet et l’augmentation de la consommation d’alcool». Autant de facteurs qui expliqueraient que les agresseurs soient de plus en plus souvent des personnes que les victimes ne connaissent pas ou peu.

Or, si la Suède dispose du record des plaintes déposées, seulement 13 % ont donné lieu en 2006 à une inculpation et 10 % à une condamnation.

http://www.liberation.fr/monde/0101564572-la-suede-malade-de-ses-viols

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AUTOCENSURE

BRAVO! du grand journalisme! Ils ont juste oublié un détail...: la majorité des viols sont le fait d'immigrés extra-européens !
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RECRUDESCENCE DES VIOLS RACISTES COMMIS PAR LES MUSULMANS

Alors que le Centre communautaire musulman de Montréal diffusait sur son site internet un message informant les musulmanes non voilées qu’elles s’exposent au viol , et que la femme occidentale est une « prostituée non payée », les Européens et les Australiens observent une recrudescence du viol des femmes occidentales par des musulmans. Les violeurs et des religieux expliquent que les femmes non voilées sont des « salopes » qui demandent à être violées.

En Australie, en Norvège, en Suède et dans d’autres pays occidentaux, il y a une recrudescence de crimes racistes ignorés par les autorités : les musulmans violent les femmes occidentales pour des raisons ethniques. Nous le savons, car les violeurs expliquent eux-mêmes leurs motivations. Lors de l’épidémie de viols collectifs à Sydney entre 1998 et 2002, un certain nombre d’adolescentes australiennes ont subi de nombreuses agressions sexuelles qualifiées d’ethniques par leurs auteurs. Les jeunes victimes étaient traitées de « salopes » et de « porcs australiens », tout en étant pourchassées et agressées.

À la Cour suprême australienne, un violeur pakistanais a déclaré que ses victimes n’avaient aucun droit de refuser étant donné qu’elles ne portaient pas le foulard.

Plus tôt dans l’année, les Australiens ont été indignés par les propos du Sheik libanais Faiz Mohammed. Celui-ci a déclaré lors d’une conférence à Sydney que les victimes de viols l’avaient bien cherché, car en s’habillant de façon indécente, elles invitaient les hommes à les violer. Quelques mois plus tôt, à Copenhague, le mufti et haut dignitaire islamique, Shahid Mehdi suscitait l’indignation quand, comme son homologue en Australie, il a expliqué que les femmes qui ne portaient pas le foulard islamique demandaient à être violées.

En 2004, le Telegraph de Londres rapportait que selon le Sheik Yusaf al-Qaradawi, les femmes violées habillées de façon indécente devaient être punies. Il a ajouté : « pour qu’elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite ». En Norvège et en Suède, le journaliste Fjordman parle d’une épidémie de viol.

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Deux viols sur trois commis à Oslo sont le fruit des immigrés musulmans et 80% des victimes sont des femmes norvégiennes.

En Suède, selon Ali Dashti, « Les viols collectifs, habituellement faisant participer les mâles immigrés musulmans et les filles suédoises indigènes, sont devenus banals. Il y a quelques semaines, cinq Kurdes ont brutalement violé une Suédoise de 13 ans. »

En France, Samira Bellil est sortie de son silence - après avoir supporté des années des viols collectifs répétés dans des cités majoritairement habitées par des musulmans - et a écrit un livre, « Dans l’enfer des tournantes ». Décrivant comment le viol collectif est effréné dans les banlieues, elle a expliqué au Time que, « n’importe quelle fille du quartier qui fume, emploie du maquillage ou porte des vêtements attrayants est une putain.. »

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Dans la plupart des procès français, les violeurs musulmans déclarent qu’ils ne croient pas qu’ils ont commis un crime. Et dans un parallèle effrayant avec les violeurs en Australie, ils disent que la victime doit se blâmer elle-même et l’accuse d’être une « salope » ou une « putain. »

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Le traducteur suédois, Ali Dashti, a déclaré que quand une jeune femme de 22 ans s’est récemment fait violer par 3 hommes, ceux-ci ne lui ont dit qu’une seule chose : « pute ». Selon Dashti, des histoires semblables sont relatées chaque semaine dans les journaux suédois. Et le politiquement correct « prend grand soin de ne pas mentionner les origines ethniques des auteurs de ces crimes ».

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Début 2005, les journaux norvégiens ont signalé qu’Oslo avait enregistré le nombre le plus élevé de cas de viols depuis 1 an. Cependant, Fjordman explique que les statistiques officielles ne contenaient aucune donnée concernant « la surreprésentation des immigrés dans les auteurs de viols », et les médias demeurent étrangement silencieux.


Le professeur d’Oslo d’anthropologie, Unni Wikan, a dit que les femmes norvégiennes doivent prendre la responsabilité du fait que les hommes musulmans trouvent leur façon de s’habiller provocatrice. Et puisque ces hommes croient que les femmes sont responsables du viol, les femmes doivent s’adapter à la société multiculturelle!

(...)

http://www.pointdebasculecanada.ca/show_article.php?idA=165&m=writeMsg

Source : Western Muslims' Racist Rape Spree
Sharon Lapkin
http://97.74.65.51/readArticle.aspx?ARTID=6161

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Norvège 2011



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UK

In 1999 I witnessed a gang rape in Sierra Leone. I was forced to watch a group of rebel soldiers taking it in turns to rape a young girl in front of an audience of jeering men. It was the height of the civil conflict and rape had become a devastating weapon of war. When I moved to Britain I believed I had escaped such horrific sexual violence. As my Dispatches investigation tomorrow night shows, I was mistaken. Gang rape is happening here – and what I have found most disturbing as an African is that a disproportionate number of these attacks are being carried out by black or mixed-race young men.

http://www.independent.co.uk/news/uk/crime/gang-rape-is-it-a-race-issue-1711381.html

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Britain's Sex Gangs - Channel 4

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