jeudi 25 septembre 2008

UK: Family barred from holding burial on Saturday because they aren't Muslim

Still more reasonable accommodation in Absurd Britannia: "Family barred from burying their dead stepfather on a Saturday... because he isn't a Muslim," from the Daily Mail, September 24.

A council has barred a grieving family from burying their stepfather on a Saturday - because he was not Muslim.

Harold 'Charlie' Lemaire died last week aged 75 from pneumonia. His stepdaughter, Jean Maltby, wanted the funeral to be held this Saturday so family who live outside the city could attend.

The retired steel worker's stepson Stephen lives in Dorset while other members of his family live as far away as the Isle of Man.

But when her funeral director called Sheffield's City Road Cemetery to arrange a memorial service followed by burial, he was told the funeral would not be allowed on a Saturday because the family was not Muslim.

The city's council confirmed it does not offer funerals at the weekend except to Muslims, in line with the rules of the Islamic faith that the dead must be buried as soon as possible.

Ms Maltby said today she felt it was unfair to offer weekend funerals to one religion and not to others.

'It should be one rule for everyone - and I don't think the people of Sheffield realise the council has made this decision,' she said.

'It goes against the council's policy of equal rights. They are making a service available to one sector of the community and not another.'...


Yep. And you're going to be seeing a great deal more of that, too.

Don't forget: 40% of Muslims want sharia law in UK:

http://www.telegraph.co.uk/news/uknews/1510866/Poll-reveals-40pc-of-Muslims-want-sharia-law-in-UK.html

lundi 22 septembre 2008

Pays-Bas: Des députés travaillent pour les services secrets marocains

AMSTERDAM, 19/09/08 - Des députés et des membres de conseils locaux d’origine marocaine sont régulièrement approchés par les services secrets marocains pour défendre les intérêts du Maroc. C’est ce que dit Fouad el Haji, un membre du conseil travailliste (PvdA) à Rotterdam. La Chambre basse est sous le choc et a exigé des explications du cabinet.

El Haji a dit au programme de télé Pauw & Witteman que des députés, des conseillers locaux, des entrepreneurs et des policiers d’origine marocaine sont sollicités par les services secrets marocains pour servir les intérêts du Maroc. Rabat veut les lier financièrement, culturellement et politiquement au Maroc, a-t-il déclaré.

El Hadji a suggéré que dans le PvdA, le Parti socialiste (PS) et le parti de gauche des Verts (GroenLinks), il y a des politiciens qui ont accepté l’offre et qui travaillent donc pour les services secrets. Il a suggéré qu’un ou plusieurs députés ou ex-députés en font partie. Mais il a refusé de nommer des noms.

El Hadji a dit que lui-même avait également été approché. « C’est typique », a-t-il expliqué. « Vous êtes invité à des galas et traité avec toutes les attentions. Avant que vous ne le réalisiez, vous êtes sur un avion pour le Maroc. Lorsque vous visitez le Maroc, vous êtes encore plus dorloté ».

Des Marocains ordinaires sont également ciblés, ajoute El Haji. Par exemple, ils sont incités à utiliser leurs économies pour acheter une deuxième maison au Maroc. Le processus d’intégration est de ce fait délibérément empêché, selon El Haji.

Cette semaine, l’émission de télévision NOVA a révélé qu’un policier de Rotterdam, Lemhaouli Re, a été un espion pour les services secrets marocains. Cela a été découvert au printemps dernier, mais l’affaire a été étouffée par les autorités néerlandaises, selon NOVA. Maintenant que l’affaire a été dévoilée, le Service d’enquête criminelle a finalement ouvert une enquête.

http://www.nisnews.nl/public/190908_1.htm

Baissage de froc: Update

Par le plus grand des hasards, la mosquée de Mulhouse n’est pas encore sortie de terre que déjà le drapeau du Hamas flotte sur les échafaudages, comme le prouve les images de France 3 Alsace, visibles ici: http://alsace.france3.fr/info/haute-alsace/45822392-fr.php
Le drapeau du Hamas en plein Mulhouse signifie simplement la soumission des autorités locales au principe contenu dans l’article 27 de la charte de ce mouvement « La Laïcité est en contradiction complète avec l'idéologie religieuse [du Hamas] ».
L’article 31 de cette charte précise bien sa conception de la tolérance : « Sous la bannière de l'islam, les fidèles des trois religions, l'islam, le christianisme et le judaïsme, peuvent coexister pacifiquement. Mais cette paix n'est possible que sous la bannière de l'islam ».
Quand un préfet, un maire tolère un drapeau du Hamas sur le territoire de sa commune, il donne crédit à un mouvement qui enseigne et proclame la supériorité de la religion musulmane sur tout autre mouvement de pensée. Il se conduit à la manière des bourgeois de Calais, en caleçon devant un mouvement à visée hégémonique.
Et que ces bourgeois ne se plaignent pas si, un jour, le caleçon vient à tomber.
Les discours rassurants des responsables musulmans sur la construction de cette mosquée ne sont que poudre aux yeux, non du fait qu’ils soient musulmans mais du simple fait d’avoir levé ce drapeau minable sur des travaux en cours de réalisation.
Ils ne sont que poudre aux yeux car le site Internet créé pour susciter les dons en faveur de cette mosquée a pour parrains deux illustres personnages, très en vogue à l'UOIF, le Cheikh Abdellah BASFAR et surtout l'illustre Youssef Karadawi, celui qui justifie les actes de terreur ainsi que le meurtre des juifs et des infidèles.
Les autorités locales en charge de la paix civile à Mulhouse et dans ses banlieues seraient bien inspirées de lire le journal Libération daté du 1° septembre 2008.
Le Hamas a, depuis sa prise du pouvoir par la violence, causé la mort de centaines de palestiniens. Il autorise les crimes d’honneur contre les jeunes filles et les femmes.
Selon le Centre palestinien pour les droits de l’homme, plus de cent cinquante associations ont été fermées ces dernières semaines parmi lesquelles des organisations de charité, des médias, et même de simples clubs de sport.
«C’est la première fois que nous assistons à une répression de cette ampleur. Le Hamas ne vise pas seulement le Fatah et ses militants, mais la société civile toute entière, s’inquiète Jaber Wishah, directeur adjoint du Centre pour les droits de l’homme. Une fois que les associations séculaires n’existent plus, les gens n’ont plus qu’à se tourner vers les associations religieuses.» (Libération, 1° septembre 2008)

Sans doute est-ce la paix civile désirée par les partisans du Hamas à Mulhouse !
De tout cela, le préfet et le maire de Mulhouse n'y voient rien à redire. Tant mieux pour eux ! Tant pis pour la démocratie et l’ordre public. Et si, suite à cet article, une enquête devait être en toute logique ordonnée, c'est sans surprise que nous entendrions les excuses des responsables musulmans de Mulhouse : "Il s'agit d'une initiative malheureuse que nous condamnons sans la moindre réserve". Bien évidemment !
Mais enfin, ne soyons pas mesquins.
Ces mêmes responsables musulmans ont prévu, à l’intérieur de l’immeuble, une mosquée et des salles d’enseignement de l’arabe (le français étant vraisemblablement réservé à l’Education Nationale).
Il y aura également un centre culturel, ceci pour éviter toute assimilation à du cultuel pur et dur et permettre ainsi l’octroi de généreuses subventions de la part de la commune et de l’Etat. Mais si c’est pour du culturel, alors, allons-y gaiement.
Puis, pragmatiques, les responsables musulmans ont décidé de créer un centre commercial.
Les quelques 70.000 Musulmans de Mulhouse vont pouvoir acheter, consommer et manger « Hallal ». Il n’y a pas de petits profits.
Nous pourrions poser une petite question indiscrète et bien peu politiquement correcte : Quelle est la part de subventions publiques dans le financement de cette mosquée ? Les contribuables de Mulhouse ont certainement la réponse à cette question.

Primo

mercredi 17 septembre 2008

Ayaan Hirsi Ali soutient que l’islam est incompatible avec les principes de la démocratie.


«Il n’y a pas de cohabitation possible entre l’islam et l’Occident».


«Le multiculturalisme est une théorie inconsistante»


«Le Prophète a demandé la main d’une petite fille de 6 ans et le mariage a été consommé quand elle a eu 9 ans. C’est ce qu’on appelle un pédophile.»

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"Il n’existe pas d’islam modéré. Il existe des musulmans passifs, qui ne suivent pas toutes les règles de l’islam."
Ayaan Hirsi Ali.


Elles sont nées dans l'islam et savent pourquoi elles le rejettent!

http://hirsiali.wordpress.com/

mardi 16 septembre 2008

“Mascarade”

« Le jury du Festival du film francophone d’Angoulème a décerné son Valois d’or du meilleur film à “Mascarade”, de l’Algérien Lyes Salem, qui sortira en France le 10 décembre. Pour Jean-Michel Ribes, président du jury, il s’agit d’un film “extrèmement joyeux qui, l’air de rien, dit absolument tout sur les femmes, la sexualité, la corruption en Algérie”. Tourné majoritairement en arabe, il a tout de même été récompensé par le jury, car “le piège de la francophonie c’est de se replier sur soi-même”. “On est là pour montrer aux gens ce qu’ils ne savent pas qu’ils aiment”, a ajouté le président. » (SOURCE : « La Charente libre » du 01/09/08.)

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A quand Goldman, "Victoire de la musique" à Ryad ?

L’illusion de l’intégration

Les Musulmans en France : une minorité de plus en plus nombreuse et de plus en plus visible


En termes sociologiques, la logique de l’intégration est simple : c’est le rapprochement des attitudes et des comportements d’une population minoritaire de ceux de la population majoritaire. Ce n’est pas ce qui se passe en France où la minorité musulmane est de plus en plus visible.

Issue du monde nord-américain, la notion de minorité visible est entrée dans le vocabulaire français, notamment en 2007, à l’occasion de la composition du premier gouvernement Fillon et, en 2008, lors de la composition des listes pour les élections municipales.

Une minorité peut être visible par la nature, selon la définition de la loi canadienne pour qui en font partie « les personnes autres que les autochtones, qui ne sont pas de race blanche ou qui n’ont pas la peau blanche ». Mais une minorité peut être aussi visible par la culture, c’est-à-dire par les comportements qu’elle adopte et les pratiques qu’elle extériorise.

C’est manifestement le cas en France de la minorité musulmane qui s’est rendue de plus en plus visible au cours des trente dernières années : dans le paysage architectural, à travers la multiplication des lieux de culte et l’érection récente de grandes mosquées ; dans la rue, avec une présence de plus en plus fréquente de femmes portant le voile islamique, voire d’hommes en gandourah ; dans les habitudes alimentaires, avec la contestation croissante des repas collectifs comportant du porc ainsi qu’avec la multiplication des boucheries halal et des rayons halal dans les grandes surfaces commerciales ; avec la perturbation de la vie scolaire, économique et sociale, lors de la fête du ramadan ; avec la revendication de mise à disposition de carrés musulmans dans les cimetières ; avec le contrôle de l’organisation du pèlerinage à La Mecque par le ministère du Tourisme.

L’objection selon laquelle ces observations seraient sans force parce que subjectives n’est pas recevable :
– d’abord parce que la notion même de minorité visible renvoie à un sens : la vue, et donc à une perception subjective qui est un élément de la réalité ;
– ensuite parce qu’il est possible d’objectiver, fût-ce imparfaitement, ces constats.

L’appartenance à l’islam : de plus en plus fréquente et revendiquée
(…)

Simultanément, deux pratiques alimentaires ont envahi l’espace public français : le jeûne du ramadan et la règle du halal.

Ce sont des exemples supplémentaires du retour des populations arabo-musulmanes vers les normes de leur espace civilisationnel en même temps que d’éloignement par rapport aux coutumes usuelles du pays d’accueil. Cette évolution est d’autant plus significative que les pratiques du jeûne du ramadan ou des prises de repas halal sont loin d’être cantonnées au seul espace privé et tendent à s’imposer à la société dans sa totalité : les populations majoritaires étant, de facto, priées de s’adapter aux exigences religieuses et civilisationnelles d’une minorité motivée ; ce qui est une forme d’intégration inversée.

Le jeûne du ramadan : une prescription alimentaire de plus en plus envahissante

Il y a seulement quinze ans, la pratique du ramadan était marginale en France. Elle est devenue aujourd’hui massive au sein des populations arabo-musulmanes où elle prend un caractère quasi obligatoire.

Le sondage CSA/La Vie d’août 2006 révèle que 88‑% des musulmans suivent la pratique du ramadan, 94‑% parmi les moins de trente ans. Cette pratique massive concerne de manière indifférenciée tous les musulmans, qu’ils soient de nationalité française ou étrangère, que leur catégorie socioprofessionnelle soit CSP + ou CSP -, qu’ils se sentent proches de la droite ou de la gauche, qu’ils habitent des banlieues ou des villes isolées.

Cette pratique imposant un jeûne diurne pendant trois semaines bouleverse les rythmes de vie et a des répercussions sur les non-musulmans dans la vie scolaire, dans la vie professionnelle et dans les relations de voisinage.

Alors que le carême catholique, même lorsqu’il est encore pratiqué, ne sort pas de l’espace privé, le ramadan musulman envahit, lui, l’espace public.

Observer le ramadan n’est d’ailleurs pas seulement une pratique religieuse, c’est aussi l’affirmation d’une appartenance ethnoculturelle. Appartenance qui n’est d’ailleurs pas seulement choisie mais aussi imposée par la pression sociale comme l’ont reconnu Sonia Imloul, présidente de l’association Respect 93, et l’intellectuel Ghaleb Bencheik. Ce dernier affirme : « Jusque dans les cours de récréation on ressent cet engouement croissant pour le jeûne et l’opprobre dont sont victimes ceux qui ne suivent pas les préceptes »



Les produits halal : un marché en pleine expansion

En France, la consommation de produits halal, c’est-à-dire « licites », ne contenant pas de produits haram – « interdits » – et préparés selon les procédures religieuses musulmanes, est restée marginale jusqu’au début des années 1990.

Dans son livre L’Islam de marché Patrick Haenni note qu’il y a seulement quelques dizaines d’années, le musulman pieux devait faire des centaines de kilomètres pour acquérir des viandes préparées selon des normes qu’il jugeait appropriées.

Aujourd’hui, il s’agit d’une consommation en pleine expansion. L’organisateur d’événements Foods & Goods, promoteur, porte de Versailles à Paris, du premier Salon halal, les 26 et 27 mars 2008, chiffre à 3 milliards d’euros le marché des produits alimentaires halal en France ; ce marché est en progression de 15‑% par an depuis 1998.

Cette expansion a d’abord concerné « le circuit traditionnel des boucheries et des magasins dédiés aux ethnies vivant en France» grâce, notamment, aux mesures prises par Charles Pasqua en 1995 sur la réglementation de l’abattage rituel musulman. Ce développement a ensuite été relayé par des multinationales de l’agroalimentaire telles que Doux, Socopa, Duc, les groupes Soviba ou Charral et les enseignes de la grande distribution telles que Carrefour, Auchan et Leclerc.

Sur l’important site francophone marocain Bladi.net Jérôme Bezié, responsable des produis frais de l’hypermarché Carrefour de Rennes, se félicite du succès de son rayon ethnique : « La demande était là. Les opérations ramadan (sic) ont clairement montré que la communauté musulmane voulait d’autres produits. Il y avait un créneau à investir. Sur ce nouvel espace, nous sommes à +30‑% sur les onze derniers mois [de février à décembre 2006]. Et pour la viande les chiffres sont également très bons. »

Cette « halalisation » de l’offre concerne aussi les plats cuisinés, à base de viande, de la cuisine mondialisée comme les pizzas, les lasagnes, les nuggets ou les nems.

L’agence multiculturelle de communication Sopi spécialisée dans la formation des entreprises à la diversité et le marketing « des produits et services destinés aux publics des diasporas vivant en France » distingue trois socio-styles de consommateurs : les immigrants récents, les « Comme au pays » qui désirent continuer à vivre comme chez eux ; les « Et, et » et leurs enfants soucieux de retrouver des plats traditionnels ; et les « révoltés identitaires », jeunes urbains adeptes des fast-foods, pizzerias et sandwicheries grecques, qui islamisent un mode de consommation américain.

En fait, c’est la troisième génération issue de l’immigration maghrébine et subsaharienne qui promeut la consommation halal, pour laquelle elle a « un attachement très fort, paradoxalement encore plus fort que chez leurs parents », selon Florence Bergeaud-Blackler, sociologue à l’unité d’anthropologie de l’université d’Aix-Marseille ; sentiment partagé par Hassan Bouod, patron d’une entreprise agroalimentaire à Marseille, qui affirme : « Notre jeunesse est très fière d’acheter halal et a envie de consommer ce type de viande, c’est psychologique »

Ainsi, comme la pratique du ramadan, la préférence pour l’alimentation halal est un choix religieux mais aussi un marqueur ethnique et civilisationnel.

L’explosion de la demande des produits halal est une preuve supplémentaire, non d’une intégration croissante des populations arabo-musulmanes à la société française mais, au contraire, de leur retour vers les pratiques de leur pays d’origine ou de celui de leurs parents, voire arrière-grands-parents. Toutefois ce réenracinement ne va pas sans poser de problèmes : en effet, pas plus que le jeûne du ramadan, la promotion de l’alimentation halal ne reste cantonnée à l’espace privé ; au contraire, elle tend à s’imposer dans l’espace public, à la fois pour des raisons d’intérêt commercial et en réponse à des pressions politiques.



Les règles de l’alimentation halal s’imposent de plus en plus dans l’espace public

La logique commerciale conduit les entreprises agroalimentaires à fournir de la viande et des produits halal à ceux qui en désirent.

Mais la tentation existe aussi, dans le souci de rentabiliser les chaînes de production, d’« halaliser » des produits destinés à l’ensemble des consommateurs. Ainsi pour les moutons et les poulets (70 kg par personne et par an), viandes très consommées par les musulmans, il est impératif de développer des filières d’abattage halal répondant aux règles suivantes : animal égorgé vivant, sans être étourdi, la tête tournée vers La Mecque, par un sacrificateur agréé. Pour éviter de mettre en ligne une autre filière d’abattage classique – et donc d’augmenter les coûts d’investissement et de production – il peut être tentant, sans en avertir le consommateur, de distribuer de la viande halal dans le circuit classique. C’est largement le cas actuellement pour la volaille et les ovins : le consommateur laïc ou catholique finance ainsi, sans le savoir et souvent contre son gré, l’expansion islamique en France.

La logique de rationalisation des coûts peut donc conduire à halaliser la distribution des viandes. La logique commerciale conduit, elle, à halaliser l’offre de plats préparés : pour pouvoir vendre partout, et à tout le monde, bien des firmes, comme Maggi, éliminent le porc et l’alcool de leurs préparations et s’approvisionnent principalement en viandes halal. Dans une logique purement commerciale, c’est le groupe le plus intolérant qui dicte sa loi aux marchands d’abord, à tous les clients ensuite.

Ce phénomène est renforcé par l’importance de la restauration collective dans les écoles et les entreprises où, souvent, les règles de la minorité sont imposées à la majorité.

Les municipalités soumises à une pression croissante des associations musulmanes prévoient désormais de manière quasi systématique, lorsqu’il y a du cochon, un menu sans porc. Des mouvements laïcs se sont émus de ce qu’ils appellent l’apartheid alimentaire conduisant à discriminer dans les écoles les « sans porcs » des « porcs », ces derniers souvent qualifiés d’« impurs » dans les cours de récréation. Le phénomène est massif ; une interrogation du moteur de recherche Google sur « cantine scolaire »+» sans porc » renvoie à plus de 100 000 occurrences.

Les règles islamiques bénéficient d’ailleurs souvent d’un vrai privilège. Ainsi le site officiel de la mairie de Grenoble précise, dans les conditions de souscription au service des cantines scolaires, « qu’aucun régime alimentaire autre que les repas sans porc ne pourra être pris en compte ».

La municipalité de Lyon est allée plus loin. Elle a mis en place, à côté des menus classiques, un menu végétarien, au motif que, dans certains quartiers, un tiers des enfants continuaient à ne pas toucher au plat principal, même sans porc, dans la mesure où les viandes servies n’étaient pas suffisamment garanties halal.

En région Île-de-France, une étape supplémentaire est en train d’être franchie. Le Siresco, syndicat intercommunal réunissant des villes principalement d’obédience communiste, qui livre 35 000 repas par jour, a banni le mot « porc » de son site internet… et des assiettes qu’il livre au moins dans certaines communes, comme Tremblay-en-France. Dans cette ville, la municipalité subit une forte pression pour halaliser tous les repas scolaires, pression qui est combattue par l’association laïque et féministe Regards de femmes.

Et selon le site TEO, au lycée professionnel laïc Lavoisier de Roubaix, « tout le lycée mange halal à la cantine, y compris les non-musulmans. Il était plus simple d’adopter cette préparation rituelle de la viande, que les autres confessions peuvent tolérer».

Cette solution présentée comme un symbole de consensus est surtout une prime au plus intolérant ! Avec deux conséquences :
-de plus en plus de Français sont en effet condamnés à manger sans le vouloir, et souvent sans le savoir, des plats halal ;
-simultanément, de plus en plus de jeunes Français se voient privés d’innombrables plats traditionnels : boudin, potée, carré de porc, choucroute, saucisses-lentilles, cassoulets, petit-salé, etc.

Ainsi, l’identité de la minorité s’affirme au détriment de celle de la majorité.

Les « carrés musulmans » dans les cimetières : une revendication nouvelle

Encore inspiré par les grandes lois du début de la IIIe République, le code général des collectivités territoriales (L.2212–2 et L2213–9 du CGCT) est formel : les pouvoirs de police de maire concernant les personnes décédées, les inhumations et les exhumations doivent être accomplis « sans qu’il soit permis d’établir des distinctions ou des prescriptions particulières en raison des croyances ou du culte du défunt ou des circonstances qui ont accompagné sa mort ».

Dans cette logique parfaitement conforme aux principes républicains, les cimetières ou carrés confessionnels font figure d’exception : il n’existe actuellement en France que trois cimetières musulmans (deux sur l’île de La Réunion et un à Bobigny), et 70 carrés musulmans dans différents cimetières, le plus important se trouvant au cimetière parisien de Thiais.

Par attachement à leurs racines et par souci de respecter les règles islamiques pour les sépultures, on estime à 85‑% le nombre d’immigrés ou de descendants d’immigrés se faisant enterrer dans leur pays d’origine ; certains consulats étrangers, comme la Tunisie, prenant même en charge le retour des corps.

Cette situation est de plus en plus contestée. En 2004, une étude menée pour l’Association des amis de la Médina et financée sur fonds publics par le Fonds d’action et de soutien pour l’intégration et la lutte contre les discriminations (Fasild) dresse un état des lieux et conclut : « Le lieu de sépulture est une des clés pour l’intégration des immigrés d’origine maghrébine à la société française. »

S’adossant à cette étude, Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris et longtemps président du Conseil français du culte musulman (CFCM), estime qu’à peine 10‑% des besoins en cimetières musulmans sont satisfaits et qu’« un millier d’agglomérations ont un besoin urgent de cimetières musulmans ».

La limite de l’intégration est ici clairement posée : l’inhumation peut avoir lieu en France mais à condition que ce soit dans un cimetière musulman, c’est-à-dire entre musulmans et sur ce qui devient de facto une terre d’islam inaliénable.

Relayée par les instances régionales du CFCM, cette revendication d’islamisation des cimetières a reçu un coup de pouce important de Mme Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur. Dans une circulaire du 19 février 2008, la ministre expose aux préfets que « le développement d’espaces confessionnels […] paraît être la solution à privilégier » et que « pour répondre favorablement aux familles souhaitant que leurs défunts reposent auprès de coreligionnaires, je vous demande d’encourager les maires à favoriser, en fonction des demandes, l’existence d’espaces regroupant les défunts de même confession ».

Dans les faits, il s’agit de multiplier les carrés musulmans présentant deux caractéristiques : des tombes orientées vers La Mecque et des concessions de terrain illimitées dans le temps, dans la mesure où l’islam interdit l’exhumation.
Cela revient de fait à créer une discrimination positive pour les musulmans qui seront les seuls à disposer de concessions perpétuelles, et une discrimination négative pour les autres, qui ne pourront disposer de terrains que pour un temps limité, tout en se voyant encouragés à préférer la crémation, moins consommatrice d’espace.

Bien sûr, il est permis de comprendre ces exigences de respect des convictions religieuses mais il est clair que, dans ce cas comme dans tant d’autres, l’intégration qui serait l’adaptation de la minorité aux règles de la majorité ne se fait pas ; c’est le contraire qui se produit, avec l’abandon des règles traditionnelles pour se plier aux revendications croissantes des minorités.

Le pèlerinage à La Mecque de plus en plus pratiqué depuis la France

Le pèlerinage à La Mecque, l’une des obligations de principe du musulman, a longtemps été ignoré en France. Les départs à La Mecque, notamment à l’occasion de la fête du sacrifice, étaient rares : quelques milliers de pèlerins par an dans les années 1980 ; et ils n’apparaissaient pas dans l’espace juridique ou médiatique français.

Là aussi, signe d’un retour aux sources, les pèlerinages à La Mecque sont en forte croissance : 23 000 en 2005, 28 000 en 2006, 30 000 à 35 000 en 2007. Selon Le Monde du 19 décembre 2007, « parmi les pèlerins, de plus en plus de jeunes Français musulmans et convertis, ou de classes sociales moyennes et supérieures, côtoient désormais le public traditionnel des retraités, représentants de la première génération d’immigrés. “D’ici à 2010, la tendance va s’inverser et les jeunes seront majoritaires”, estime Zakaria Nana, responsable de l’association SOS-Pèlerins qui milite depuis deux ans pour un assainissement du marché du Hadj ».

Trois points méritent d’être soulignés :

– d’abord, le rajeunissement du public, preuve supplémentaire de la réislamisation des jeunes générations issues de l’immigration, ainsi commenté par Rachid Bouchaïa, chef d’entreprise, ancien pèlerin : « Pour beaucoup de jeunes qui reviennent à la religion, l’aiguillon, c’est effectivement un certain retour aux origines car l’islam ne se résume pas au Maghreb » ;

– ensuite, l’importance du nombre de pèlerins ; le voyage à La Mecque doit se faire une fois dans la vie : au rythme de 30 000 par an, chiffre appelé sans doute à croître, ce sont 1 500 000 personnes qui ont vocation à aller depuis la France à La Mecque au cours de leur vie ;

– enfin, la prise en charge administrative du pèlerinage ; en réponse à la question d’un parlementaire UMP, le ministre du Tourisme indique, le 8 mai 2007, qu’un groupe de travail a été constitué pour améliorer les conditions d’information et de déplacement vers l’Arabie Saoudite ; en 2006, l’administration a même édité une brochure d’information en français et en arabe, ce dernier point soulignant les limites de l’intégration linguistique des intéressés.

Le grand retour des prénoms marqueurs d’une identité musulmane

Le nom et le prénom d’un homme ou d’une femme sont et restent des marqueurs identitaires : ils renvoient souvent à une histoire familiale ou à des appartenances, religieuses ou géographiques. C’est la raison pour laquelle la République, lorsqu’elle inscrivait son action dans une logique d’assimilation, a encouragé les étrangers qui se faisaient naturaliser à changer de nom et de prénom.

Ainsi une loi de 1972, reprenant des textes de 1965, eux-mêmes repris de textes antérieurs prévoit que :

a : « Toute personne qui acquiert ou recouvre la nationalité française peut demander la francisation de son nom seul, de son nom et de ses prénoms ou de l’un d’eux, lorsque leur appartenance, leur consonance ou leur caractère étranger peut gêner son intégration dans la communauté française. »

b : « La francisation d’un nom consiste soit dans la traduction en langue française de son nom, soit dans la modification nécessaire pour faire perdre à ce nom son apparence, sa consonance ou son caractère étranger. »

c : « La francisation d’un prénom consiste dans la substitution à ce prénom d’un prénom français ou dans l’attribution complémentaire d’un tel prénom ou, en cas de pluralité de prénoms, dans la suppression du prénom étranger pour ne laisser subsister que le prénom français. »

d : « Les personnes mentionnées à l’article 1er peuvent demander la francisation des prénoms ou de l’un des prénoms de leurs enfants mineurs bénéficiaires des articles 84 et 143 du code de la nationalité. Elles peuvent également demander l’attribution à ces enfants d’un prénom français, s’ils ne possèdent aucun prénom. »

Quoique toujours en vigueur, et encore récemment remaniée en janvier 2005, cette loi subit une remise en cause progressive de son application.

D’abord, les demandes de changement de nom et de prénom dans un but de francisation se font de plus en plus rares. Selon Nacira Guénif Souilamas, chercheur au CNRS, auteur de Des beurettes aux descendants d’immigrants nord-africains: « On assiste (de moins en moins) à des demandes de francisation de prénoms au moment de la naturalisation. Les descendants des migrants ne pensent plus que l’assimilation passe par l’acculturation. Et qu’il faille chercher à effacer toute référence à l’origine, au parcours migratoire. » Quant aux descendants, français de nationalité pour la plupart, « ils renouent avec des références arabes, persanes, prénoms qui ne sont pas forcément liés à leur nationalité d’origine ou à l’histoire de leurs parents ».

Ensuite, les juges des affaires familiales sont de plus en plus sollicités par des Français naturalisés ayant changé de nom ou de prénom et souhaitant retrouver leur identité d’origine. Un article du « Monde » du 13 avril 2007 intitulé « Ce prénom, ce n’est pas moi », s’intéresse à cette « nouvelle catégorie de solliciteurs » : Nadine souhaitant redevenir Zoubida ; Louis désirant redevenir Miloud pour pouvoir effectuer un pèlerinage à La Mecque et être enterré dans un carré musulman ; Pierre et Marie choisissant de s’appeler à nouveau Kamel et Leïla et de redonner à leurs descendants leur prénom de naissance pour que « dans leur école, nos enfants ne se sentent pas isolés avec des prénoms français par rapport aux autres ».

Cette attitude est évidemment radicalement différente de celle observée dans les années 1970, où bien des Arabes porteurs du prénom Mohamed se faisaient alors surnommer « Momo » pour mieux ressembler aux « Maurice » avec qui ils partageaient les emplois ou les cages d’escalier.

Loin de combattre cette évolution, les institutions françaises ont choisi de l’accompagner. La doctrine officielle est désormais la suivante : puisque les Français naturalisés ou les Français d’origine étrangère souhaitent garder des prénoms qui marquent leur identité d’origine, faisons en sorte que cela ne nuise pas à leur intégration dans l’emploi et imposons le curriculum vitae (CV) anonyme. C’est ainsi que, tour à tour, gouvernements, officines patronales et syndicales et Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde) ont encouragé les curriculum vitae sans nom, sans prénom et sans adresse.

Comment ne pas penser à Tartuffe ? Cachez ce prénom que vous avez choisi mais que je ne saurais lire !

Car nous assistons à un phénomène massif de retour à des prénoms identitaires utilisés comme marqueurs de l’appartenance à la culture islamique.

L’histoire du prénom Mohamed illustre ce phénomène. Ce prénom apparaît en France, de manière statistiquement significative, au début des années 1950 et est de plus en plus fréquemment donné, jusqu’à atteindre un pic de 1 700 au début des années 1980 ; pic suivi d’un déclin notable jusqu’à la fin des années 1990 ; déclin interrompu par une vive reprise : avec 1 860 attributions, l’année 2006 est l’année record (source Insee). En fait, avec les variantes orthographiques, ce sont plus de 2 000 garçons nés en France qui ont été prénommés Mohamed en 2006. Situation d’ailleurs moins spectaculaire qu’en Grande-Bretagne où, selon l’AFP du 6 juin 2007, Mohamed est devenu le deuxième prénom le plus populaire derrière Jack !

D’autres prénoms comme Mehdi, Karim ou Youssef ont connu une progression semblable.

Il convient toutefois de noter aussi la montée de Rayan dont l’année record d’attribution est 2006, avec 1 859 choix. Rayan, qui fait donc quasiment jeu égal avec Mohamed, est un prénom qui, sous ses aspects anglo-saxons et mondialisé, a une origine arabe puisqu’il signifie « beau », « à la fleur de l’âge » ; son choix ne traduit pas un désir d’intégration à l’identité française mais une volonté d’affirmation de l’identité arabe dans un monde globalisé.

Un phénomène assez comparable peut être observé dans le choix des prénoms attribués aux filles. Dans les familles d’origine maghrébine, c’est, selon Marie-Odile Mergnac, auteur de L’Encyclopédie des prénoms , Inès qui est le plus souvent choisi. Ce prénom a été attribué à 4 900 filles en 2006. Il arrive qu’il soit la forme espagnole ou portugaise d’Agnès mais c’est le plus souvent la transformation phonétique d’Inâs qui signifie « bienveillance, caresse, compagne » : de même Nadia (« généreuse »), Sonia (« élevée, haute, sublime »), Sabrina (« patience ») sont les transcriptions de mots arabes… même si le hasard des sonorités peut parfois les faire coïncider avec un mot d’origine slave ou celtique !

© Polémia
21/08/08
Texte extrait de « Immigration : L’illusion de l’intégration », édition Polémia, à paraître


L’Islam de marché, Patrick Haenni, Seuil, Paris, 2005.
http://www.bladi.net op. cit. et http://www.saphirnews.com/Consommation-halal-un-des-marches-les-plus-prometteurs-du-monde-_a3421.html

http://www.ville-grenoble.fr/jsp/site/Portal.jsp?page_id=214

Le Monde, 8 septembre 2006.

Le Monde, 19 décembre 2007.

L’encyclopédie des prénoms, leur histoire, leurs stars, Archive et culture, 2004

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Prénom Mohamed

Oslo : Mohammed n°1 au classement des prénoms les plus donnés aux bébés en 2008.


À défaut de statistiques plus précises mais ô combien politiquement incorrectes, les classements des prénoms donnés aux bébés sont un excellent moyen pour juger de l’état d’avancement de l’islamisation d’une ville, d’un département, d’un pays.

Rappelons par exemple que :

Mohamed est le prénom le plus donné aux nouveaux nés dans la région de Bruxelles-Capitale en Belgique, et ce depuis les années 1980. Par ailleurs, sept des dix premiers prénoms du classement sont d’origine arabe ou à la mode auprès des familles arabes (idem chez les filles). Source : Statbel
Mohammed, sous toutes ses variantes, était 2e au classement des prénoms les plus donnés au Royaume-Uni en 2006, et devrait désormais être n°1 si la tendance s’est poursuivie. (source : Times)
Mohammed, sous toutes ses variantes, se classe 2e à Malmö en Suède (source : Sydsvenskan)
Mohammed, sous toutes ses variantes, est premier à Milan (source : Ynet)

Et plus près de chez nous

Mohammed est premier à Marseille (Source : France-Soir)
Mohammed est premier en Seine St-Denis (source : Doctissimo)
Mais à part cela, l’islamisation est un fantasme, nous rassurent les bienpensants et autres idiots professionnels.

Une citation pour finir :

«Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour faire irruption dans l’hémisphère nord. Et certainement pas en amis. Car ils y feront irruption pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant de leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire» (Boumedienne, 1974, discours à l’assemblée de l’ONU)

http://www.bivouac-id.com/2009/01/28/oslo-mohammed-n%c2%b01-au-classement-des-prenoms-les-plus-donnes-aux-bebes-en-2008/

lundi 15 septembre 2008

Muslims continue pushing Christians out of Bethlehem

Imagine the uproar this would cause in Western countries if it was the opposite? At any rate, will Christians mark this event as the "great nakba"?


"Muslims Continue Pushing Christians Out of Bethlehem," by Gil Ronen for Israel National News, September 12:

The Muslim Fatah-controlled authority in Judea and Samaria is encouraging a "sharp demographic shift" in Bethlehem, where the Christian population went from a 60 percent majority in 1990 to a 40 percent minority in 2000, to about 15 percent of the city's total population today.
And before the violent Islamic conquests circa 630s, Bethlehem was approximately 100% Christian.
It is estimated that, for the past seven years, more than one thousand Christians have been emigrating from the Bethlehem area annually and that only 10,000 to 13,000 Christians remain in the city. International human rights lawyer Justus Reid Weiner, who teaches at Hebrew University, told the Jerusalem Institute for Global Jewish Affairs that, under the PA-Fatah regime, Christian Arabs have been victims of frequent human rights abuses by Muslims.

"There are many examples of intimidation, beatings, land theft, firebombing of churches and other Christian institutions, denial of employment, economic boycotts, torture, kidnapping, forced marriage, sexual harassment, and extortion," he said. PA officials are directly responsible for many of the attacks, and some Muslims who have converted to Christianity have been murdered.


As people with "dhimmi" status, Christians living in Palestinian-controlled territories are not treated as the equals of Muslims. He says: "They are subjected to debilitating legal, political, cultural, and religious restrictions. This has become a critical problem for the Palestinian Christians in the West Bank and Gaza. Muslim groups like Hamas and Islamic Jihad have built a culture of hatred upon the age-old foundations of Islamic society. Moreover, the PA has adopted Islamic law into its draft constitution."
In 2006, Hassan El-Masalmeh, a member of the Bethlehem City Council and local Hamas leader, publicly advocated implementing a discriminatory tax on non-Muslim residents. In late 2007 an evangelical pastor was forced to leave Ramallah under threats from Fatah gunmen, and soon after, his congregation dispersed.

"Tens of thousands of Palestinian Christians have left their ancestral homes and emigrated to North America, Central America, South America, Europe, and Australia. They flee to almost any country that will issue them a visa," Weiner said. "Neither the Palestinian Christian leaders nor the PA want to reveal accurate statistics. That would mean the extent of the emigration would become publicly known. They would then have to face questions about the reasons for this decline."

"It is currently estimated that the number of Christians living in Gaza totals only 1,500-3,000 amid 1.2 million Muslims. Probably less than fifty thousand Christians remain in all of East Jerusalem, the West Bank, and Gaza together," he estimated. "Taybeh, a village located deep in the West Bank, is the only all-Christian village left in the PA. As a result of the perpetual violence, many residents of Taybeh have gone abroad and only 1,300 remain. The situation of these Christians has become grim."

Kidnapping of Christian Women
"Incidents of Muslim men ‘seducing' or kidnapping Christian girls have caused growing anxiety among the Christian population. In May 2004, a sixteen-year-old Christian girl from Bethlehem, who was a U.S. citizen, went missing for five days after being kidnapped by a 23 year-old Muslim. " The girl's family contacted the American Consulate in Jerusalem, and it was only thanks to their intervention that she was rescued and left with her family for the United States. The episode received virtually no international media coverage.

In another case, a Muslim family appeared uninvited on the doorstep of a wealthy Christian family in Judea and Samaria and demanded that the Christian family's daughter, known for her beauty, marry their son. Their son was already dressed up for his wedding, accompanied by the sheikh and fifteen Muslim men. To protect his family the Christian girl's father opened fire on the Muslim entourage, killing three and wounding ten. The girl's family immediately abandoned their home and fled abroad."

(...)

http://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/127592

Les arabes et les "sans-papiers"...

Quand l'Italie et l'Espagne régularisent 1 million de personnes et la France 30% de ses sans papiers, voici la version arabe...:
http://tf1.lci.fr/infos/france/0,,3318970,00-papiers-regularises-.html


La question bidoun


Les Emirats arabes unis ont entrepris de recenser la dizaine de milliers d'apatrides qui vivent dans cette monarchie pétrolière, dans le but de trouver une "solution définitive" au statut de ces personnes, communément appelées "bidoun" dans les pays arabes du Golfe.


Un "bidoun" (mot arabe signifiant "sans") est une personne vivant dans un pays du Golfe depuis des années, mais ne pouvant prouver son origine, ce qui le prive des droits dont bénéficient les citoyens de ces pays, au premier rang desquels celui de la nationalité.

La majorité de ces "bidoun" sont originaires d'Iran, d'Asie ou de Zanzibar (Tanzanie).

L'octroi de la nationalité est un sujet très délicat dans les monarchies arabes du Golfe, la plupart ayant des populations autochtones très faibles.

Sur une population totale estimée fin 2006 à quelque 5,6 millions de personnes, les Emiratis étaient ainsi moins de 870.000. Au Koweït, où les autochtones n'étaient que 1,055 million fin 2007 sur une population totale de 3,4 millions, le nombre des "bidoun" pourrait y atteindre 90.000, selon de récentes estimations.

La question des "bidoun" est d'ailleurs sortie du cadre du Golfe, puisque le gouvernement des Comores a tenté récemment de naturaliser 4.000 familles d'apatrides résidant en Arabie, dans les Emirats et au Koweït. Le projet de loi a toutefois été rejeté par le Parlement, l'opposition dénonçant "une mise aux enchères de (la) nationalité" comorienne.

Le ministre émirati de l'Intérieur, cheikh Seïf ben Zayed Al-Nahyane, avait promis en octobre 2006 la nationalité à tout "bidoun" qui parviendrait à prouver qu'il vivait dans le pays avant l'indépendance des Emirats, en décembre 1971.

En 2007, les autorités ont accordé la nationalité à 1.294 apatrides.

Mais jusqu'à la récente campagne de recensement, aucune mesure n'avait été prise pour régler le problème dans son ensemble.

Dès l'ouverture de cette campagne, le 7 septembre, les quatre centres d'enregistrement ont connu une forte affluence, qui n'a jamais diminué. A Dubaï, des dizaines de femmes en "abaya", la tunique noire traditionnelle des femmes des pays du Golfe, se massent chaque jour dans le centre de recensement. La partie réservée aux hommes est également bondée.


Il estime toutefois qu'"une bonne partie des bidoun sont en fait des étrangers entrés clandestinement dans le pays et des contrevenants aux lois régissant le travail et la résidence". (En Europe le même genre de remarque attire les foudres des "droits de l'hommistes...)

"Je suis né dans ce pays, mais je n'ai aucune nationalité", déclare Ali Mohammed, la cinquantaine, qui attend de se faire recenser. Comme tous, il dit espérer décrocher enfin la nationalité émiratie.

http://insidethegulf.com

samedi 6 septembre 2008

« Jérusalem, capitale de la culture arabe » ?

Restons impertinent : l’UNESCO a décidé que 2009 serait l’année de « Jérusalem, capitale de la culture arabe ». En 2010, cette vénérable institution internationale nommera-t-elle « Pékin, capitale de la culture Tibétaine » ?

Ah, ces Juifs… déjà colons il y a 2800 ans !

Personne ne l'avait souligné mais peut-être cela tient-il au fait que l'Histoire ne fait pas bon ménage avec l'islam militant.
Ainsi les pays arabo-musulmans ont-ils obtenu de l'Unesco, par le seul poids de leur nombre, que Jérusalem soit nommée capitale de la culture... arabe en 2009. Arabe, vous avez dit bizarre ?
Loin de nous l'idée de confondre arabe et musulmans, les premiers parlant une langue commune et les seconds partageant une foi. Cependant, au plan de la culture, les recouvrements sont courants et, concernant Jérusalem, ils sont absolus.
En effet, Jérusalem ne peut se targuer du titre de capitale de la culture arabe que si on lui accorde le douteux "troisième lieu saint de l'islam" selon une formule éprouvée du chapitre "pédagogie de la répétition".
Troisième lieu saint de l'islam, une ville qui n'est pas citée une seule fois dans le Coran ? Ben oui, mon cher Watson, dans un rêve, Mahomet s'est envolé sur sa monture magique depuis "la mosquée lointaine".
Lointaine par rapport à quoi ? A La Mecque, certainement, puisque c'est LE lieu saint de l'islam. Et si l'on veut prouver que "la lointaine" est Jérusalem, il suffit de le dire en oubliant toutes les autres qui auraient tout aussi bien pu faire l'affaire. Après tout, il s'agit d'un rêve!
Le rêve de ceux qui utilisent l'Onu et l'Unesco comme outil pour faire oublier qu'ils asservissent leur peuple en portant l'attention sur le "c'estlafauteauxjuifs", c'est de faire oublier au monde que Jérusalem est citée plus de 600 fois dans la Bible et qu'on ne peut pas y creuser une tranchée de voirie sans tomber sur un vestige archéologique attestant la présence et la spiritualité des Hébreux.
Et alors? Qu'importe les faits pourvu qu'on ait l'ivresse de la propagande !
Si l'Unesco n'élève pas Jérusalem au rang de capitale culturelle juive, ce n'est pas parce que les pays arabo-musulmans et non alignés y obtiennent une majorité automatique, bien sûr. C'est par étourderie, par lapsus, par ignorance...
Nous verrons combien de nos preux journalistes hexagonaux relèveront l'incongruité...

Primo

Un procès reporté pour cause de ramadan

LEMONDE.FR

Le président de la cour d'assises d'Ille-et-Vilaine a-t-il accepté, vendredi 5 septembre, de renvoyer le procès d'assises de plusieurs braqueurs pour cause de ramadan ? C'est ce qu'ont dénoncé plusieurs avocats, avant de se voir opposer un démenti formel des autorités judiciaires.

L'ordonnance de renvoi du procès ne mentionne pas le ramadan dans ses motifs écrits. Elle se contente d'indiquer que le procès, qui devait s'ouvrir le 16 septembre à Rennes, est renvoyé au 19 janvier 2009 "dans le souci d'une bonne administration de la justice", après une demande des avocats de l'un des accusés. Mais la demande de renvoi des avocats faisait valoir "les contraintes diététiques et les obligations cultuelles qui s''[imposaient]" à leur client musulman qui du fait du ramadan, aura "déjà vécu quatorze jours de jeûne" à l'ouverture de son procès, et "ne sera pas en pleine capacité de se défendre". Interrogé par l'AFP, l'un des avocats, Me Yann Choucq, a confirmé vendredi cette position, affirmant avoir demandé le renvoi car "les contraintes du ramadan, d'un point de vue physiologique, mettent les gens en état de faiblesse physique". Il a toutefois ajouté que "ce n'était pas le seul motif de renvoi".

"COUP DE CANIF"

Pourtant, les avocats des parties civiles sont convaincus que le ramadan est l'unique motif de renvoi, et jugent cette décision "aberrante". "Les autres motifs de renvoi éventuels étaient connus depuis longtemps et les demandes n'ont pas été suivies. Le seul élément nouveau qui a entraîné la décision du président de la cour d'assises est cette question du ramadan", a ainsi déclaré l'un d'eux, Me Pierre Abeg.


Interviewée sur Libération.fr, Fadela Amara, secrétaire d'Etat chargée de la politique de la ville, estime que cette décision est "un coup de canif qu'on tente de porter à la République laïque". Et d'affirmer que "le religieux n'a rien à faire dans la justice". SOS-Racisme a également déclaré, dans un communiqué, qu'il y voyait une atteinte au principe de laïcité, "si la cause du report est bien celle-là".

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Le malheur est que cette exception cultuelle légitime toute une série de demandes d’une partie des autorités musulmanes (l’UOIF, pour ne pas la nommer), à commencer par le voile.
Ces avocats irresponsables qui ont accédé à la requête de leur client savent-ils que, même durant le Ramadan, on décapite en Arabie Saoudite ? Les vendeurs de brut s’arrêtent-ils de commercer avec leurs clients pendant un mois ?
Parce qu’un braqueur lâche refuse d’assumer la responsabilité de ses actes, tout l’appareil judiciaire se retrouve bloqué jusqu’au mois de Février.
Où a-t-il vu, cet avocat benêt, que les administrations françaises ferment leurs portes durant le carême ?
L'espace public est maintenant largement ouvert.
Peu importe la véritable raison qui a suscité le report de ce procès, le simple fait que l’on puisse évoquer cette excuse sans rougir de honte dans notre pays en dit long sur le lent grignotage des institutions, sur l’état d’un pays qui s’aplatit de plus en plus devant le relativisme culturel.
Le fait est que, désormais, le Ramadan est devenu, par la faute de ces imbéciles, une réalité incontournable de la sphère publique alors qu’il aurait toujours dû rester une affaire privée.
Si un musulman décide, de sa propre initiative, de respecter le Ramadan, et donc de sacrifier à son dieu quelques plaisirs de la table, il doit en assumer toute les conséquences. Le travailleur doit respecter son contrat de travail. Le jeune doit aller à l’école. Personne ne peux faire porter à la société entière les conséquences d’un choix personnel.

Primo

mercredi 3 septembre 2008

Imagenation...Hallal...

ÉCONOMIE • Abou Dhabi jette son dévolu sur Hollywood

Après l'immobilier, la culture, l'industrie, la finance et le sport, Abou Dhabi s'intéresse aujourd'hui au cinéma, annonce The New York Times. L'émirat va consacrer 1 milliard de dollars (623 millions d'euros) à la production de 6 à 8 long-métrages par an d'ici cinq ans, en partenariat avec trois producteurs américains dont les noms devraient être révélés pendant le Festival de cinéma de Toronto, qui démarre le 4 septembre. Cette manne tombe à point nommé pour Hollywood, qui, depuis la crise du crédit, intéresse beaucoup moins les fonds spéculatifs.

Pour ménager la susceptibilité de ses partenaires, cet investissement sera réalisé par Imagenation, une filiale créée à cet effet par le groupe Abu Dhabi Media Company, contrôlé par l'Etat. Pour les producteurs américains, explique le quotidien américain, "Imagenation est un nom politiquement plus acceptable pour faire la promotion des films qui seront cofinancés".

L'Emirat a récemment pris des participations dans Ferrari, General Electric, Carlyle, Citigroup et Chrysler. En début de semaine, un fonds d'Abou Dhabi a également racheté à l'ex-Premier ministre thaïlandais Thaksin Shinawatra le club de Manchester City de la Premier League britannique, rappelle le Financial Times.
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Et comme chacun sait, les investisseurs n'ont aucunes influences sur leurs acquisitions...

ALLEMAGNE • Un premier manuel scolaire sur l'islam

Il compte 196 pages, coûte 14,95 euros et est disponible depuis le 27 août (...) Il est destiné aux élèves des cinquième et sixième classes (CM2 et sixième en France).

"Il faut en finir avec les fascicules autoconfectionnés [par les professeurs], les graphiques tracés à la règle, les histoires copiées à la main et les photos découpées dans les magazines", commente la Tageszeitung. Le quotidien déplore que l'enseignement de l'islam reste "ponctuel" dans les écoles allemandes. Aucun Land ne s'est hissé au niveau de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, pionnière en la matière : un enseignement de l'islam y est prodigué dans les écoles depuis 1986.

L'éditorialiste de la Tageszeitung espère que Saphir sera une première étape vers un enseignement généralisé de l'islam. "C'est un scandale de notre politique d'intégration qu'un tel enseignement n'existe pas encore dans le pays. A partir du moment où des cours de religion chrétienne sont proposés dans les écoles allemandes, les musulmans doivent bénéficier du même droit."

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Et bien sur, ds les pays musulmans, la réciprocité est de mise...