vendredi 31 mai 2013

Obligés de fuir leur quartier parce que blancs : gros plan sur une famille victime d'un racisme qui n'intéresse pas les médias


Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d'injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l'aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s'est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu'il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l'avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public. 

Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu'elle n'appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s'est-il passé exactement ? 


Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.

Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ? 


Parce que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont il a été victime, M. LETERME s'est retrouvé lui aussi sur le banc des accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu auteur présumé de violences légères.

Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?


Les mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement racistes.

S’agit-il d’un fait divers ou d’une affaire politique qui dépasse le simple cadre juridique ?


Il ne s’agit pas d’en faire une affaire politique, mais de constater que dans certains quartiers, il existe des cas avérés de racisme anti-blanc, où des habitants sont de fait ostracisés voire violentés parce qu’ils n’appartiennent pas à la communauté majoritaire. Cette affaire est assez typique : le lendemain, il y avait eu un article dans la presse locale, où il était expliqué en gros que c’est la famille LETERME qui n’avait pas su s’intégrer.
Mais cette affaire est tout aussi emblématique d’une curieuse façon de traiter les victimes : après le traumatisme que cette famille a vécu, il est à peine croyable que le parquet ait eu l’idée de poursuivre la victime, qui n’a fait que se défendre. La victime, un père de famille sans histoire, s’est retrouvée sur le banc des accusés au même titre que ses agresseurs aux casiers judiciaires déjà très chargés (l’un d’entre eux avait déjà 11 condamnations à son casier et les autres de 3 à 6).

Que nous révèle selon vous cette affaire de la société française ? 


Une propension inquiétante à l’inversion des rôles (victime/agresseur) et à l’aveuglement devant certaines réalités (les blancs sont aussi victimes de racisme). Il ne faut pas généraliser, mais ces réalités sont pourtant vécues dans notre pays, elles arrivent devant nos tribunaux. Elles restent pourtant largement sous estimées voire niées dans la pensée unique officielle et dans les grands médias.

Quelle décision les juges ont-ils rendu dans ce dossier ?


Deux peines de prison ferme (6 mois et 2 mois) sachant  qu’en dessous de deux ans ferme, la peine est systématiquement aménagée, et 8 mois de sursis simple pour le troisième. Quant à mon client M. LETERME, à la fois victime et poursuivi pour violence légères, le Procureur a tout de même requis une peine de 1500 Eur d’amende contre lui ! Heureusement le tribunal ne l’a pas condamné. Il a été relaxé, car la poursuite le concernant était prescrite (simple contravention de violence légère, qu’il contestait au demeurant). Quant aux dommages et intérêts, ils s’élèvent en tout, pour la famille LETERME, à 7.800 euros pour tous les préjudices confondus pour les trois victimes (les parents et la petite fille de 12 ans). C’est sans aucune commune mesure avec le drame qu’ils ont vécu, et qui a changé leur vie puisqu’ils ont dû tout quitter, leur logement, leur région et même leur travail.

http://www.atlantico.fr/decryptage/obliges-fuir-quartier-parce-que-blancs-gros-plan-famille-victime-racisme-qui-interesse-pas-medias-stephane-maitre-741275.html

mardi 28 mai 2013

Les Britanniques démentent la thèse de l’expulsion massive des Arabes

Des documents officiels britanniques déclassifiés , datant de la fin du mandat britannique sur la Palestine, et rendus publics  par « The guardian » daté du Jeudi 25 Avril 2013, ont permis d’apporter un éclairage déterminant sur les conditions dans lesquelles les Arabes ont quitté la Palestine mandataire en 1948.
Dans ces documents, de hauts fonctionnaires britanniques venus en Palestine en 1948, écrivent entre autres:
« Les Arabes de Palestine ont essuyé une série de défaites capitales.
Les victoires des Juifs sur le terrain ont considérablement affecté leur morale et celui-ci est à zéro.
Et à la suite de la conduite peureuse de leurs leaders incompétents, ils ont commencé à fuir par milliers les régions mixtes.
Désormais, il est évident que leur seule chance de revenir sur leurs terres et maisons dépendra des armées régulières arabes ».
Ces hauts fonctionnaires britanniques confirmaient donc, dès le début de 1948, que les Arabes de Palestine dans leur grande majorité, n’avaient pas été chassés de leurs terres par les forces armées juives mais, qu’en l’absence d’un leadership adéquat, ils avaient abandonnés leurs terres dans l’espoir d’y revenir au lendemain d’une grande victoire des armées arabes.
Ces documents britanniques démentent donc en fait la fameuse théorie selon laquelle les Arabes de Palestine ont été expulsés en 1948 par les forces armées israéliennes.Ils confortent par là même 
la véracité de la thèse officielle israélienne selon laquelle la grande majorité des Arabes de Palestine avait fui sur les recommandations du Comité Arabe Suprême pérsuadé qu’au lendemain de l’indépendance israélienne les armées arabes prendraient d’assaut le jeune état juif, ne lui laissant aucune chance de survie.
 Pour autant lorsque les millions d’Arabes descendants de ces « réfugiés »  qui vivent encore dans des camps précaires dans les pays arabes voisins, commémorent la Nakba ( le 15 mai de chaque année), ce n’est pas vers Israël qu’ils doivent diriger leurs griefs mais vers les pays arabes qui ont déclenché la guerre contre Israël, et qui les ont incité à quitter leurs villages pour en faire des « réfugiés », veillant, pour des considérations politiques, qu’ils soient maintenus dans cet état 65 ans durant.

lundi 27 mai 2013

" L'Etat achète ainsi la paix sociale"

Le Monde
L'examen de sociologie a commencé il y a moins d'une demi-heure. Par deux ou trois, en un flot continu, des étudiants quittent déjà l'amphithéâtre 4 de l'université de Perpignan. Copie blanche rendue. Ils ne sont venus que pour signer la feuille de présence et continuer à bénéficier de leur bourse. "Nous, direct, on signe on s'en va. Ici, on est payés à rien foutre." Ilyes, Ryan, Dylan, trois compères à la démarche chaloupée, assument, débonnaires, leur stratégie de survie par temps de crise. "On a la bourse, on travaille de partout au noir, on s'en tire avec 1 500 euros facile."
La sortante suivante, pressée, court sur talons compensés. "J'ai rendez-vous chez le coiffeur, au Leclerc de je sais plus où." Puis viennent deux blondes qui préparent le concours d'infirmière. "La prépa coûte cher..."Assises en rang d'oignon, Sarah, Fara, Sabrina, Samia et quelques autres, moitié apprêtées comme des starlettes de téléréalité, moitié voilées, n'ont pas davantage passé l'examen. Elles redoublent la première année de sociologie ("C'est pas intéressant, ça mène à rien.") après un bac professionnel secrétariat et une admission refusée en BTS, travaillant de-ci de-là "au KFC" ou dans le ménage.
La bourse ? "Ils devraient l'augmenter !, rient-elles. Elle part en trois jours, comme ça, fringues, téléphone. C'est pas les parents qui vont nous donner 400 euros par mois !" Le frère de l'une d'elles, un peu à l'écart, écoute, l'air gêné. A 22 ans, lui aussi n'a d'étudiant que la bourse. Il raconte son bac pro, le DUT transports dont il a vainement rêvé, le travail introuvable, même en intérim. "Quatre cents euros, ça aide à tenir", quand on vit seul, aîné d'une famille de quatre enfants, avec un père petit commerçant et une mère femme de ménage. "Je ne vais pas vous dire que je me sens à l'aise ici. Je préférerais faire ce qui me plaît."
Aude Harlé, la directrice du département de sociologie, s'extrait de l'amphithéâtre avec, en main, une pile de 84 copies blanches pour 161 étudiants inscrits à l'épreuve. Il y a deux jours, en droit, ce fut une soixantaine de copies vierges sur 300 distribuées. En administration économique et sociale (AES), une vingtaine sur 80. Même circonscrit à ces trois filières, le phénomène des étudiants fictifs inquiète, au point que les capacités d'accueil ont été réduites en sociologie et AES, cette année, pour éviter les inscrits de dernière heure.
"Ces faux étudiants existent depuis toujours mais nous notons une accélération depuis deux-trois ans, en lien avec le chômage des jeunes et l'absence de dispositif de soutien financier pour cette période de transition entre lycée et activité", indique Fabrice Lorente. A Perpignan, il préside une université sise dans le département (Pyrénées-Orientales) qui enregistre le troisième plus fort taux de chômage en France. "Ces jeunes viennent juste chercher un revenu minimum pour vivre qui n'est pas énorme, ce qui montre l'ampleur de leurs difficultés..." Une bourse sur critères sociaux de 470 euros versée sur dix mois, cumulable avec un emploi, qui exonère des frais d'inscription universitaire, ouvre droit à la sécurité sociale et à diverses réductions, notamment dans les transports, en contrepartie d'une présence aux examens et travaux dirigés (TD).

Les étudiants sont censés demeurer dans l'amphithéâtre un tiers du temps de l'épreuve, afin de permettre aux retardataires d'arriver. Mais les enseignants peinent à canaliser ces jeunes venus sans stylo qui trépignent, s'interpellent, sortent les téléphones portables, en attendant de s'échapper. "Cette fois-ci, la salle était tellement bruyante que j'ai menacé de les exclure de l'examen et de les compter absents", témoigne Aude Harlé. Dissuasif. Cette absence vaut suppression de bourse. La sociologue organise désormais l'amphithéâtre de façon à épargner les étudiants qui entendent composer, incitant "ceux qui souhaitent partir vite" à se regrouper du côté droit qu'elle évacuera ensuite, rangée par rangée.

Même pression sur les enseignants durant les travaux dirigés – trois absences bloquant l'accès aux examens, donc à la bourse. Durant deux ou trois heures, les chargés de TD ont pour tâche épuisante d'obtenir un minimum d'attention tandis qu'une bonne part des présents s'agite, bavarde, écoute de la musique, envoie des SMS ou dort tête sur le bureau.
Le président de l'université s'agace : tout cela affecte ses statistiques de réussite en première année. "On nous en fait le reproche. Mais ces étudiants ne veulent pas travailler ! Et le système de répartition des moyens tient compte des taux de réussite en première année..." Taux de 15 % en AES, de 29 % en sociologie, mais de 44 % toutes filières confondues, une fois dilué le problème des faux étudiants. Ce qui place tout de même Perpignan à une très honorable 9e place des universités.
Pour les doyens des facultés de lettres et de droit, Nicolas Marty et Yves Picod, l'Etat achète ainsi la paix sociale. Fermant les yeux sur ces bourses qui fournissent un complément de revenus aux familles et écartent quantité de jeunes des statistiques du chômage. Il serait temps, pensent-ils, d'imposer un minimum de résultats. Ne serait-ce qu'un 8 de moyenne, et le non-redoublement... Le sujet met plus mal à l'aise les sociologues, qui redoutent une stigmatisation de leur matière, des boursiers – certains sont brillants. Et surtout d'une certaine jeunesse.

D'autant qu'à Perpignan, où les plus défavorisés sont souvent enfants de l'immigration maghrébine, le Front national fait recette... "Dans les examens, on commence à percevoir des regards de classe, de rancoeur, entre les jeunes de milieu très populaire et ceux des classes moyennes ou populaires stabilisées. A l'université, lieu de mixité, on entend désormais des propos porteurs de racisme", s'inquiète Eliane Le Dantec, maître de conférences en sociologie. "Ceux-là, ils sont là pour profiter. Ils ne cherchent même pas de travail", nous ont glissé plus tôt deux jeunes filles, devant la porte ouverte de l'amphithéâtre, en désignant quelques garçons d'origine maghrébine installés sur la droite.
(...)

jeudi 23 mai 2013

La guerre dans le Coran :

Sourate 2, 191 :
" Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants. "

Sourate 2, 190-193 :
" Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes. "

Sourate 2, 216 :
Vous devez combattre, même si c'est quelque chose qui vous déplaît.

Sourate 3, 141 :
" Qu'Allâh éprouve ceux qui croient et détruise (ou fasse disparaître) les incroyants."

Sourate 4, 76 :
"Les croyants combattent dans le sentier d'Allah, et ceux qui ne croient pas combattent dans le sentier du Tagut. Eh bien, combattez les alliés de Diable, car la ruse du Diable est certes, faible."

Sourate 4,84 :
"Combats donc dans le sentier d'Allah, tu n'es responsable que de toi même, et incite les croyants au combat. Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition."

Sourate 4, 89 ou 91 :
"Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. S'ils retournaient à l'infidélité, saisissez-les et mettez-les à mort partout où vous les trouverez. Ne cherchez parmi eux ni protecteur ni ami."

Sourate 4, 91 ou 93 :
"S'ils ne se tiennent pas à l'écart, s'ils ne se rendent pas à vous et ne déposent pas les armes, saisissez-les, tuez-les où que vous les trouviez. Nous vous donnons tout pouvoir sur eux."

Sourate 5,21 :
"Ô mon peuple! Entrez dans la terre sainte qu'Allah vous prescrite. Et ne revenez point sur vos pas [en refusant de combattre] car vous retourneriez perdants."

Sourate 5, 33-37 :
"Voici quelle sera la récompense de ceux qui combattent Dieu et son apôtre,… vous les mettrez à mort ou vous leur ferez subir le supplice de la Croix ; vous leur couperez les mains et les pieds alternés ; ils seront chassés de leur pays. Cela est une honte pour eux dans cette vie, et dans la vie à venir pour eux il y aura une terrible punition."

Sourate 5, 38-42 :
"Vous couperez les mains des voleurs, homme ou femme, en punition de leur crime. C’ est la peine que Dieu a établie contre eux. Il est puissant et sage. "

Sourate 6, 123 :
"Croyants, combattez les incroyants qui sont dans vos parages et qu'ils vous trouvent durs."

Sourate 8, 7 :
" Allah cependant a voulu prouver la vérité de ses paroles, et exterminer jusqu'au dernier des infidèles."

Sourate 8, 12 :
" Et ton Seigneur révéla aux Anges : Je suis avec vous ; affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les coeurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts. "

Sourate 9, 5 :
"Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux."

Sourate 9, 29 :
"Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humiliés."

Sourate 8, 39-40 :
"Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s'ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu'ils oeuvrent."

Sourate 8, 65 :
"O Prophète, appelle les croyants à combattre. S'il y a vingt hommes fermes parmi vous, ils en vaincront deux cent; et s'ils sont une centaine ils vaincront un millier d'incroyants, parce que ce sont des gens qui ne comprennent pas."

Sourate 9, 5 :
"Les mois sacrés expirés tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade ; mais s'ils se convertissent, s'ils observent la prière, s'ils font l'aumône, alors laissez-les tranquilles."

Sourate 9:14 :
"Combattez-les. Allah, par vos mains, les châtiera, les couvrira d'ignominie, vous donnera la victoire sur eux et guérira les poitrines d'un peuple croyant."

Sourate 9:29 :
"Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre. Faites-leur la guerre jusqu'à ce qu'ils payent le tribu de leurs propres mains et qu'ils soient soumis."

Sourate 9, 30 :
"Les juifs disent : Ozaïr est le fils de Dieu. Les chrétiens disent : Moïse est le fils de Dieu. Telles sont les paroles de leurs bouches ; elles ressemblent à celles des infidèles d'autrefois. Que Dieu leur fasse la guerre ! Qu'ils marchent à rebours ! "
(Note : On peut vraiment se demander d'où vient cette idée ridicule que les Juifs croient qu'Ozaïr / Esdras est le fils de Dieu !)

Sourate 9:39 :
"Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent."

Sourate 9, 123-124 :
"0 croyants ! combattez les infidèles qui vous avoisinent ; qu'ils vous trouvent toujours sévères à leur égard. Sachez que Dieu est avec ceux qui le craignent."

Sourate 25, 52 :
"N'écoute pas les incroyants, combats-les rudement avec ce Coran."

Sourate 33,61 :
"Ce sont des maudits, où qu'on les trouve, ils seront pris et tués de tuerie."

Sourate 47, 4 :
"Quand vous rencontrez des infidèles, frappez-les à la nuque jusqu'à en faire un grand carnage. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c'est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d'Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions. Il les guidera et améliorera leur condition, et les fera entrer au Paradis qu'Il leur aura fait connaître. Ô vous qui croyez ! si vous faites triompher la cause d'Allah, Il vous fera triompher et raffermira vos pas. Et quand à ceux qui ont mécru, il y aura un malheur pour eux, et Il rendra leurs oeuvres vaines."

Sourate 48,16 :
"Dis à ceux des Bédouins qui restèrent en arrière : 'Vous serez bientôt appelés contre des gens d'une force redoutable. Vous les combattrez à moins qu'ils n'embrassent l'Islam. Si vous obéissez, Allah vous donnera une belle récompense, et si vous vous détournez comme vous vous êtes détournés auparavant, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux'."

Sourate 47, 37 :
"N'appelez point les infidèles à la paix quand vous leur êtes supérieurs, et que Dieu est avec vous."

Sourate 60, 4 :
"Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d'Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l'inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu'à ce que vous croyiez en Allah, seul."

Sourate 60:4 :
" Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d'Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l'inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu'à ce que vous croyiez en Allah, seul. "

Sourate 71, 27 :
"Si Tu les laisses (en vie), ils égareront tes serviteurs et n'engendreront que des pécheurs infidèles." 

Hadith de Boukhari 1, 35 :
"Muhammad a dit: "Celui qui prend part au Jihad (les guerres saintes) pour la cause d'Allah, sans que rien ne l'y oblige sinon sa croyance en Allah et en Son envoyé, recevra d'Allah sa récompense: le butin (s'il survit) ou le paradis (s'il est tué)."

Hadith de Boukhari 4, 52, 177 :
"L'apôtre d'Allah a dit, l'Heure ne sera pas établie jusqu'à ce que tu ne combattes avec les juifs, et la pierre derrière laquelle un juif se cachera dira. "Musulmans ! Il y a un juif se cachant derrière moi, alors tue le."

Hadith de Boukhari 4, 73 :
"Muhammad a dit: "Sachez que le paradis est sous l'ombre des épées."

Hadith de Boukhari 4, 392 :
"Muhammad a dit aux Juifs: "Sachez que la terre appartient à Allah et à Son envoyé (Muhammad) et que je veux vous expulser de cette terre (la Péninsule arabique). Celui donc qui possède des biens, il lui est permis de les vendre."

Hadith de Boukhari 5, 716 :
"Les dernières paroles de Muhammad sur son lit de mort furent: "Expulsez les païens (les non-musulmans) de la Péninsule arabique."

Hadith de Boukhari 9, 50 :
Muhammad a dit : "Aucun musulman ne devrait être mis à mort pour le meurtre d'un infidèle."

Hadith de Sobhi Saleh 1818 :
'La résurrection des morts n'aura pas lieu avant que les Musulmans ne combattent les Juifs. Le Juif se cachera derrière les pierres et les arbres, qui diront : O Musulman, un Juif se cache derrière moi, viens le tuer."

Hadith Musulman .234 :
"Le prophète a dit : Alors va vers les personnes qui ne se joignent pas à la prière en assemblée et ordonne que leurs maisons soient brûlées..."

Repentance 29 :
"Humiliez les non musulmans à tel point qu’ils se rendent et paient tribut."

Repentance 123 :
"O vous qui croyez ! Tuez ceux des non-croyants ... et qu’ils trouvent de la dureté en vous."

Tabarî, Annales I, 1363 ; Ibn Sa'd 2,1,21 ; Ibn Hicham 3,62 ; al- 'Aînî 6,194 :
"Mahomet aurait dit : Tout Juif dont vous serez maître, tuez-le."

mardi 14 mai 2013

Des prêcheurs extrémistes visitent les universités britanniques


Des prêcheurs musulmans radicaux ont pu intervenir près de 180 fois, sans encombres, dans 21 universités britanniques à l'invitation d'associations étudiantes. C'est ce que révèle une étude menée par Student Rights, une organisation destinée à lutter contre l'extrémisme dans les universités. Celle-ci dresse un constat inquiétant dans un article publié par la BBC et explique que ces prêcheurs incitent les étudiants à la violence et les encouragent par exemple à visionner des vidéos de terroristes sur YouTube. Le tout se déroulant dans des universités prestigieuses comme Cambridge, University College London, Birmingham ou Oxford.
Dans le Telegraph, on apprend que les prêcheurs concernés ont un lourd passif : "Certains prêcheurs sont misogynes, font l'apologie de la violence contre les homosexuels et plaident la violence contre les non-musulmans. Ils appartiennent à une génération d'extrémistes, inspirée par des imams radicaux comme Abou Qutada, qui parviennent à diffuser leur version de l'islam auprès des étudiants en faisant le tour des campus."
Le Times se penche sur le parcours de l'un de ces "charismatiques et jeunes prêcheurs", qui est intervenu à 48 reprises dans les facs anglaises, dont la prestigieuse Oxford, Hamza Tzortzis. Hamza Tzortris, partisan des châtiments corporels, se dit ouvertement "opposé à l'idée de liberté d'expression et à l'idée même de liberté tout court". C'est pourtant, souligne le quotidien, cette même liberté d'expression qui lui a permis de diffuser ses idées face à un parterre d'étudiants. L'université de Cambridge dans laquelle il a pu venir exposer ses idées en février a expliqué "n'intervenir dans les événements organisés par les étudiants que lorsqu'ils vont à l'encontre de la loi".
Nicola Dandridge, directrice générale de Universities UK, une organisation représentante des vice-présidents des universités anglaises, abonde en ce sens :"Les universités sont des lieux de débats vigoureux et où l'esprit critique s'épanouit, les idées peuvent être questionnées et ouvertement explorées. L'université est tenue de promouvoir la liberté d'expression, ce qui signifie laisser s'exprimer des opinions controversées ou parfois offensantes." Et de préciser toutefois que les universités doivent signaler tout comportement illégal aux autorités. Raheem Kassam, le président de l'organisation Student Rights, cité par la BBC, fustige le manque de vigilance en amont des universités : "Une petite recherche sur Google à propos de ces prêcheurs ne ferait de mal à personne."
Pire, plus d'un quart de ces interventions se sont produites dans des salles dans lesquelles hommes et femmes ont été séparés, au mépris de l'interdiction de cette pratique proscrite par la règle d'égalité entre étudiants. Après la publication de cette étude, deux universités,  UCL et the University of Leicester, ont annoncé mener une enquête interne au sujet de ces interventions "ségrégatives", rapporte le site de la BBC.
D'après Usama Hassan, un chercheur interrogé par le Times, ces invitations sont rendues possibles par l'infiltration dans les associations étudiantes musulmanes de radicaux qui dénient à leurs camarades musulmans toute liberté en les menaçant et les intimidant.