vendredi 14 mars 2008

Des Marocains se font parrainer par des Amérindiennes rencontrées sur Internet

Radio-Canada diffusait « Un pont vers le Canada », un reportage décrit comme suit :

(31 janvier 2008) - L’arrivée d’Internet dans les villages amérindiens a contribué à briser l’isolement des Autochtones et particulièrement des femmes qui ont découvert les joies des sites de rencontres. Par les nouvelles technologies, certaines de ces femmes, qui vivent souvent à des centaines de kilomètres de la ville la plus proche, ont trouvé l’âme sœur à l’extérieur du pays.

Le résultat de cet univers amoureux élargi : une immigration improbable dans les communautés autochtones du Québec.


( « Un Pont vers le Canada » a été diffusé le 31 janvier 2008 sur Radio-Canada )

Commentaire de Point de BASCULE

Des femmes innus ou attikameks se convertissent à l’islam, adoptent le voile et cessent de consommer du porc. Ces Amérindiennes pauvres envoient de l’argent au Maroc. Certaines ont été abandonnées par le conjoint et ont refusé de raconter leur histoire.

Ce reportage nous inspire une profonde tristesse face à la détresse de ces femmes amérindiennes facilement exploitables par des Maghrébins sans scrupules prêts à tout pour sortir de leur pays et obtenir un visa pour le Canada.

Rappelons à toutes les femmes du Québec que le parrainage d’un conjoint étranger emporte l’engagement envers le gouvernement du Québec de veiller aux besoins financiers de la personne parrainée de façon à ce qu’elle n’ait pas besoin de recourir à l’aide gouvernementale. L’obligation de subvenir aux besoins de cette personne est d’une durée de 3 ans. Si le conjoint vous quitte et réclame des prestations d’aide sociale durant cette période, vous serez tenue d’en rembourser le montant à l’État.

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