(...)
Autrement dit, la morale, une remontée de bretelles et un coup de pied au cul plutôt que le passage par la case tribunal. Ce qui peut, et a porté ses fruits dans les communes qui appliquent cette loi, observe Antoine Leroy.
Dans les faits, le rappel à l'ordre pourra être mis en œuvre en cas d'incivilités. Une notion dans laquelle le législateur a englobé « présence de mineurs non accompagnés dans les lieux publics à heure tardive », « attroupement bruyant et tout acte susceptible de nuire à la tranquillité des habitants, stationnements gênants dans les lieux de passage, comportements agressifs, injurieux ou outrageants, nuisances ou divagations commises par des chiens autres que de catégorie 1 ou 2 ». Mais aussi « infractions aux arrêtés de police du maire », « problèmes d'assiduité scolaire », « infractions en matières de sécurité routière » et autres « violences ou dégradations légères ».
Une loi taillée sur mesure pour les seuls jeunes Rebeux de quartiers ? Antoine Leroy et Jean-Claude Pérez réfutent de concert toute volonté de stigmatisation. Soit. Ce qui signifie que n'importe quel citoyen peut être concerné. Dans ces conditions, avons-nous demandé au procureur de la République, si, par pure hypothèse, le maire ou l'un de ses adjoints contrevenait à la loi, qui le rappelerait à l'ordre ? Dans un haussement d'épaules suivi d'un soupir incrédule, le procureur de la République juge que « dans ce cas, cela suivra les circuits judiciaires habituels ».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/01/27/1271171-sauvageons-gare-au-sermon-du-maire.html
Erdogan: "L’expression “islam modéré” est laide et offensante. Il n’y a pas d’islam modéré." Milliyet, 21 août 2007
vendredi 27 janvier 2012
mardi 24 janvier 2012
Les harkis montrent les dents
Forts de leurs 800 000 voix à la présidentielle, ils font monter les enchères auprès des candidats. Un enjeu politique non négligeable.
(...) Nulle présence, par contre, des autres candidats dans ce palais du Luxembourg, qui, comme l'ont rappelé les organisateurs, avait voté hier la loi sur le déni du génocide arménien. Le télescopage de ces "deux poids deux mesures" était trop flagrant pour ne pas être souligné ce matin par ces associations. Les pieds-noirs, qui ont l'impression de s'être fait abuser, sont donc fermement résolus à passer à l'heure des comptes et à peser plus que jamais dans une élection qui coïncide avec le 50e anniversaire des accords d'Évian (19 mars 1962) et de l'indépendance de l'Algérie (5 juillet 1962). Deux événements que l'État français s'est engagé, en revanche, à célébrer en grande pompe avec l'Algérie, ce qui, bien sûr, meurtrit les pieds-noirs.
L'année s'annonce longue et chaude : un autre sujet de discorde, qui va dans le même sens, vient d'éclater, comme le rapporte sur son site l'historien Guy Pervillé, professeur à l'université de Toulouse et spécialiste de la guerre d'Algérie. Invité à rédiger pour le livre des commémorations nationales l'article concernant la guerre d'Algérie, Pervillé crie à la censure, car la partie concernant la période des accords d'Évian a été amputée des quatre cinquièmes. Sur son blog, il restaure la version intégrale, qui évoque les enlèvements de Français, les massacres des harkis ainsi que le rôle du général de Gaulle. Autant d'éléments qui ont disparu du livre publié par les Archives de France et le ministère de la Culture.(...)
http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/les-harkis-montrent-les-dents-24-01-2012-1423117_324.php
(...) Nulle présence, par contre, des autres candidats dans ce palais du Luxembourg, qui, comme l'ont rappelé les organisateurs, avait voté hier la loi sur le déni du génocide arménien. Le télescopage de ces "deux poids deux mesures" était trop flagrant pour ne pas être souligné ce matin par ces associations. Les pieds-noirs, qui ont l'impression de s'être fait abuser, sont donc fermement résolus à passer à l'heure des comptes et à peser plus que jamais dans une élection qui coïncide avec le 50e anniversaire des accords d'Évian (19 mars 1962) et de l'indépendance de l'Algérie (5 juillet 1962). Deux événements que l'État français s'est engagé, en revanche, à célébrer en grande pompe avec l'Algérie, ce qui, bien sûr, meurtrit les pieds-noirs.
L'année s'annonce longue et chaude : un autre sujet de discorde, qui va dans le même sens, vient d'éclater, comme le rapporte sur son site l'historien Guy Pervillé, professeur à l'université de Toulouse et spécialiste de la guerre d'Algérie. Invité à rédiger pour le livre des commémorations nationales l'article concernant la guerre d'Algérie, Pervillé crie à la censure, car la partie concernant la période des accords d'Évian a été amputée des quatre cinquièmes. Sur son blog, il restaure la version intégrale, qui évoque les enlèvements de Français, les massacres des harkis ainsi que le rôle du général de Gaulle. Autant d'éléments qui ont disparu du livre publié par les Archives de France et le ministère de la Culture.(...)
http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/les-harkis-montrent-les-dents-24-01-2012-1423117_324.php
samedi 21 janvier 2012
L’islam a obtenu sa capitale européenne
En 2002, Bat Ye’Or inventait le mot « Eurabia » pour décrire le destin vers lequel se dirige l'Europe. Un destin de soumission à l'islam, de « dhimmitude ».
Voici des extraits adaptés d’un article de Sandro Magister et de Giulio Meotti, publiés sur Chiesa, et qui illustrent non pas la vision de Bat Ye’Or, mais la réalité, l’islamisation et la soumission.
La Hollande est le symbole européen de l’islamisation. C’est le pays où le libre arbitre individuel est le plus développé, au point que l'euthanasie des enfants y est permise, la consommation de certaines drogues est légalisée et contrôlée, la prostitution officialisée. C’est aussi le pays où l'identité chrétienne s’est le plus effacée, et où la présence musulmane devient la plus arrogante.
La Hollande est également le pays européen ou le multiculturalisme est la règle, et où cette nouvelle réalité se voit à l’œil nu, plus qu’ailleurs, dans la deuxième grande ville du Pays.
C'est là que des quartiers entiers sont des morceaux de Moyen-Orient, là où se dresse la plus grande mosquée d'Europe, l'Université Islamique de Rotterdam membre du résau des universités islamiques mondial, où les tribunaux et les théâtres appliquent des éléments de la loi islamique, la charia, où beaucoup de femmes circulent voilées, et où le maire, musulman, est fils d’imam, et a pour conseillé le membre des Frères musulman, l'intégriste en costume Tariq Ramadan.
Cette métropole, c’est Rotterdam, deuxième ville de Hollande pour la population, premier port d'Europe pour le volume des échanges.
Bart Jan Spruyt est journaliste au quotidien Elsevier : « Ici, un immigré n’a pas besoin de lutter, d’étudier, de travailler, il peut vivre aux frais de l’Etat. Nous avons fini par créer une société parallèle. Les musulmans sont majoritaires dans beaucoup de quartiers et demandent la charia. Ce n’est plus la Hollande. Notre usage de la liberté a fini par se retourner contre nous, c’est un processus d’auto-islamisation ».
A Feyenoord (quartier sud de Rotterdam), on voit partout des femmes voilées filer comme l’éclair dans les rues du quartier, évitant tout contact, surtout avec les hommes. C’est là que l’on comprend le mieux que la Hollande – avec toutes ses lois anti-discrimination et toute son indignation morale – est une société à ségrégation totale. Ici, ce sont les vendeurs arabes d’aliments halal qui dominent l'esthétique urbaine. Partout on voit des casbah-cafés, des agences de voyages qui offrent des vols pour Rabat et Casablanca, des posters de solidarité avec le Hamas et des cours de néerlandais à prix avantageux.
Peuplée majoritairement d’immigrés, Rotterdam possède la mosquée la plus haute et la plus imposante de toute l’Europe. 60 % des étrangers qui arrivent en Hollande viennent habiter ici. Ce qui frappe le plus quand on entre dans la ville en train, ce sont les mosquées énormes, fascinantes.
Beaucoup de quartiers de Rotterdam sont sous le contrôle de l'islamisme le plus sombre et le plus violent. Choqué par l’assassinat de Theo Van Gogh en 2004, Chris Ripke, un artiste connu, peint sur son mur un ange et le commandement « Gij zult niet doden », tu ne tueras point. Les musulmans de la mosquée voisine trouvèrent le texte « offensant ». Le maire de Rotterdam, libéral, ordonna à la police d’effacer la peinture, jugée « raciste ».
Sylvain Ephimenco, un franco-hollandais, vit à Rotterdam. Il a été le correspondant de Libération en Hollande pendant 20 ans, maintenant il est au quotidien chrétien de gauche Trouw : « Quand je suis arrivé ici, dans les années soixante, la religion était en train de mourir, un fait unique en Europe, une déchristianisation collective. Et puis les musulmans ont remis la religion au centre de la vie sociale. Aidés par l'élite antichrétienne ».
Depuis peu, on a vu apparaître, au centre de Rotterdam des photos mortuaires de Geert Wilders, placées sous un arbre avec une bougie indiquant sa mort prochaine. Il y a trois ans, L'Economist, un hebdomadaire éloigné des thèses anti-islamiques de Wilders, qualifiait Rotterdam de « cauchemar eurabe ».
Giulio Meotti : « Nous sortons faire un tour dans les quartiers islamisés. A Oude Westen on ne voit que des arabes, des femmes voilées de la tête aux pieds, des magasins alimentaires ethniques, des restaurants islamiques et des shopping center de musique arabe. « Il y a dix ans, il n’y avait pas tous ces voiles » , dit Ephimenco.
Giulio Meotti : « Derrière chez lui, dans une zone bourgeoise (…) il y a un quartier islamisé. Partout des enseignes musulmanes. »
Sylvain Ephimenco : « Regardez tous ces drapeaux turcs. Là, il y a une église importante, mais elle est vide, plus personne n’y va ».
A Rotterdam les avocats musulmans veulent changer les règles de droit, demandant à pouvoir rester assis quand le juge entre. Ils ne reconnaissent qu’Allah. L'avocat Mohammed Enait a refusé de se lever quand les magistrats sont entrés dans la salle, disant que « l’islam enseigne que tous les hommes sont égaux ». Le tribunal de Rotterdam lui a reconnu le droit de rester assis. En revanche, Enait refuse de serrer la main aux femmes, qu’il dit préférer avec la burqa. Le tribunal n’a rien dit.
Le Zuidplein Theatre est l’un des plus prestigieux de la ville. Il est fier de « représenter la diversité culturelle de Rotterdam ». Il est subventionné par la mairie que dirige Ahmed Aboutaleb. A l’occasion du spectacle du musulman Salaheddine Benchikhi, le Zuidplein a accepté, au nom de la charia, de réserver tout un balcon aux femmes pour qu’hommes et femmes ne se mélangent pas. La charia est légalisée.
Rotterdam illustre mieux qu’ailleurs le fait que là ou s’installe l’Islam, la liberté d’expression disparait. Le metteur en scène Gerrit Timmers, en se livrant à l’ « auto-islamisation », en est un bon exemple. Ce fut le premier cas d’autocensure, en décembre 2000. Timmers voulait mettre en scène la vie de la femme de Mahomet, Aïcha. Les acteurs « ont dit que c’était un sujet dangereux et qu’ils ne pouvaient pas y participer parce qu’ils avaient reçu des menaces de mort ». Timmers a annulé la pièce, et a ajouté : « Voilà pourquoi cela ne me pose pas de problème si les musulmans veulent séparer les hommes et les femmes dans un théâtre ».
Giulo Meotti : « Nous rencontrons le metteur en scène qui a introduit la charia dans les théâtres hollandais, Salaheddine Benchikhi. Il est jeune, moderne, orgueilleux, parle un anglais parfait. « Je défends le choix de séparer les hommes des femmes parce qu’ici il y a la liberté d'expression et d’organisation. Si les gens ne peuvent pas s’asseoir où ils veulent, c’est de la discrimination. Il y a deux millions de musulmans en Hollande et ils veulent que notre tradition devienne publique, tout évolue. Le maire Aboutaleb m’a soutenu »
En 2008, Bouchra Ismaili, conseillère municipale de Rotterdam, a publié la lettre suivante : « Ecoutez bien, fous dégénérés, nous sommes ici pour y rester. C’est vous qui êtes des étrangers ici, avec Allah de mon côté je ne crains rien ; laissez-moi vous donner un conseil : convertissez-vous à l'islam et trouvez la paix ».
Giulo Meotti : « Certaines écoles de Rotterdam ont une « salle du silence » où les élèves musulmans, majoritaires, peuvent prier cinq fois par jour, avec un poster de la Mecque, des exemplaires du Coran, et des ablutions rituelles avant la prière. »
Giulo Meotti : « Un autre conseiller municipal musulman, Brahim Bourzik, veut faire dessiner en divers points de la ville des emplacements où s’agenouiller en direction de la Mecque. »
Giulo Meotti : « à la mosquée Al-Nasr, l'imam Khalil al Moumni, au moment de la légalisation du mariage gay, a déclaré que les homosexuels étaient des « malades pires que des porcs ». Il a publié une brochure qui circule dans les mosquées hollandaises, qui explique qu’il faut couper la tête aux homosexuels et « l’accrocher au bâtiment le plus haut de la ville ».
Au centre d’une place se dresse une mosquée avec des inscriptions en arabe. « Avant, c’était une église » dit l’ancien journaliste de Libération.
Il ajoute « Ce n’est pas vrai du tout que Wilders recueille des voix dans les banlieues ; tout le monde le sait même si on ne le dit pas ».
Sylvain Ephimenco : « Aujourd’hui, les électeurs de Wilders sont des gens cultivés. Beaucoup d’universitaires et de gens de gauche votent pour lui. Le problème, c’est tous ces voiles islamiques. »
Sylvain Ephimenco : « Wilders n’est pas Haider. Il est de droite mais aussi de gauche, c’est un Hollandais typique. »
Sylvain Ephimenco : « Ici, il y a des horaires réservés aux femmes musulmanes à la piscine. Voilà l'origine du vote pour Wilders. Il faut arrêter l'islamisation, la folie du théâtre. »
Sylvain Ephimenco : « Les Hollandais ont peur. Wilders s’oppose au Frankenstein du multiculturalisme. »
Sylvain Ephimenco : « Moi qui étais de gauche et qui aujourd’hui ne suis plus rien du tout, je dis que nous avons atteint la limite. J’ai senti que les idéaux des Lumières étaient trahis par cet apartheid volontaire, je sens que, dans mon cœur, les idéaux d'égalité entre hommes et femmes et de liberté d'expression sont morts. Ici la gauche est conformiste et la droite a une meilleure réponse au multiculturalisme fou ».
http://www.dreuz.info/2012/01/l%E2%80%99islam-a-obtenu-sa-capitale-europeenne
Voici des extraits adaptés d’un article de Sandro Magister et de Giulio Meotti, publiés sur Chiesa, et qui illustrent non pas la vision de Bat Ye’Or, mais la réalité, l’islamisation et la soumission.
La Hollande est le symbole européen de l’islamisation. C’est le pays où le libre arbitre individuel est le plus développé, au point que l'euthanasie des enfants y est permise, la consommation de certaines drogues est légalisée et contrôlée, la prostitution officialisée. C’est aussi le pays où l'identité chrétienne s’est le plus effacée, et où la présence musulmane devient la plus arrogante.
La Hollande est également le pays européen ou le multiculturalisme est la règle, et où cette nouvelle réalité se voit à l’œil nu, plus qu’ailleurs, dans la deuxième grande ville du Pays.
C'est là que des quartiers entiers sont des morceaux de Moyen-Orient, là où se dresse la plus grande mosquée d'Europe, l'Université Islamique de Rotterdam membre du résau des universités islamiques mondial, où les tribunaux et les théâtres appliquent des éléments de la loi islamique, la charia, où beaucoup de femmes circulent voilées, et où le maire, musulman, est fils d’imam, et a pour conseillé le membre des Frères musulman, l'intégriste en costume Tariq Ramadan.
Cette métropole, c’est Rotterdam, deuxième ville de Hollande pour la population, premier port d'Europe pour le volume des échanges.
Bart Jan Spruyt est journaliste au quotidien Elsevier : « Ici, un immigré n’a pas besoin de lutter, d’étudier, de travailler, il peut vivre aux frais de l’Etat. Nous avons fini par créer une société parallèle. Les musulmans sont majoritaires dans beaucoup de quartiers et demandent la charia. Ce n’est plus la Hollande. Notre usage de la liberté a fini par se retourner contre nous, c’est un processus d’auto-islamisation ».
A Feyenoord (quartier sud de Rotterdam), on voit partout des femmes voilées filer comme l’éclair dans les rues du quartier, évitant tout contact, surtout avec les hommes. C’est là que l’on comprend le mieux que la Hollande – avec toutes ses lois anti-discrimination et toute son indignation morale – est une société à ségrégation totale. Ici, ce sont les vendeurs arabes d’aliments halal qui dominent l'esthétique urbaine. Partout on voit des casbah-cafés, des agences de voyages qui offrent des vols pour Rabat et Casablanca, des posters de solidarité avec le Hamas et des cours de néerlandais à prix avantageux.
Peuplée majoritairement d’immigrés, Rotterdam possède la mosquée la plus haute et la plus imposante de toute l’Europe. 60 % des étrangers qui arrivent en Hollande viennent habiter ici. Ce qui frappe le plus quand on entre dans la ville en train, ce sont les mosquées énormes, fascinantes.
Beaucoup de quartiers de Rotterdam sont sous le contrôle de l'islamisme le plus sombre et le plus violent. Choqué par l’assassinat de Theo Van Gogh en 2004, Chris Ripke, un artiste connu, peint sur son mur un ange et le commandement « Gij zult niet doden », tu ne tueras point. Les musulmans de la mosquée voisine trouvèrent le texte « offensant ». Le maire de Rotterdam, libéral, ordonna à la police d’effacer la peinture, jugée « raciste ».
Sylvain Ephimenco, un franco-hollandais, vit à Rotterdam. Il a été le correspondant de Libération en Hollande pendant 20 ans, maintenant il est au quotidien chrétien de gauche Trouw : « Quand je suis arrivé ici, dans les années soixante, la religion était en train de mourir, un fait unique en Europe, une déchristianisation collective. Et puis les musulmans ont remis la religion au centre de la vie sociale. Aidés par l'élite antichrétienne ».
Depuis peu, on a vu apparaître, au centre de Rotterdam des photos mortuaires de Geert Wilders, placées sous un arbre avec une bougie indiquant sa mort prochaine. Il y a trois ans, L'Economist, un hebdomadaire éloigné des thèses anti-islamiques de Wilders, qualifiait Rotterdam de « cauchemar eurabe ».
Giulio Meotti : « Nous sortons faire un tour dans les quartiers islamisés. A Oude Westen on ne voit que des arabes, des femmes voilées de la tête aux pieds, des magasins alimentaires ethniques, des restaurants islamiques et des shopping center de musique arabe. « Il y a dix ans, il n’y avait pas tous ces voiles » , dit Ephimenco.
Giulio Meotti : « Derrière chez lui, dans une zone bourgeoise (…) il y a un quartier islamisé. Partout des enseignes musulmanes. »
Sylvain Ephimenco : « Regardez tous ces drapeaux turcs. Là, il y a une église importante, mais elle est vide, plus personne n’y va ».
A Rotterdam les avocats musulmans veulent changer les règles de droit, demandant à pouvoir rester assis quand le juge entre. Ils ne reconnaissent qu’Allah. L'avocat Mohammed Enait a refusé de se lever quand les magistrats sont entrés dans la salle, disant que « l’islam enseigne que tous les hommes sont égaux ». Le tribunal de Rotterdam lui a reconnu le droit de rester assis. En revanche, Enait refuse de serrer la main aux femmes, qu’il dit préférer avec la burqa. Le tribunal n’a rien dit.
Le Zuidplein Theatre est l’un des plus prestigieux de la ville. Il est fier de « représenter la diversité culturelle de Rotterdam ». Il est subventionné par la mairie que dirige Ahmed Aboutaleb. A l’occasion du spectacle du musulman Salaheddine Benchikhi, le Zuidplein a accepté, au nom de la charia, de réserver tout un balcon aux femmes pour qu’hommes et femmes ne se mélangent pas. La charia est légalisée.
Rotterdam illustre mieux qu’ailleurs le fait que là ou s’installe l’Islam, la liberté d’expression disparait. Le metteur en scène Gerrit Timmers, en se livrant à l’ « auto-islamisation », en est un bon exemple. Ce fut le premier cas d’autocensure, en décembre 2000. Timmers voulait mettre en scène la vie de la femme de Mahomet, Aïcha. Les acteurs « ont dit que c’était un sujet dangereux et qu’ils ne pouvaient pas y participer parce qu’ils avaient reçu des menaces de mort ». Timmers a annulé la pièce, et a ajouté : « Voilà pourquoi cela ne me pose pas de problème si les musulmans veulent séparer les hommes et les femmes dans un théâtre ».
Giulo Meotti : « Nous rencontrons le metteur en scène qui a introduit la charia dans les théâtres hollandais, Salaheddine Benchikhi. Il est jeune, moderne, orgueilleux, parle un anglais parfait. « Je défends le choix de séparer les hommes des femmes parce qu’ici il y a la liberté d'expression et d’organisation. Si les gens ne peuvent pas s’asseoir où ils veulent, c’est de la discrimination. Il y a deux millions de musulmans en Hollande et ils veulent que notre tradition devienne publique, tout évolue. Le maire Aboutaleb m’a soutenu »
En 2008, Bouchra Ismaili, conseillère municipale de Rotterdam, a publié la lettre suivante : « Ecoutez bien, fous dégénérés, nous sommes ici pour y rester. C’est vous qui êtes des étrangers ici, avec Allah de mon côté je ne crains rien ; laissez-moi vous donner un conseil : convertissez-vous à l'islam et trouvez la paix ».
Giulo Meotti : « Certaines écoles de Rotterdam ont une « salle du silence » où les élèves musulmans, majoritaires, peuvent prier cinq fois par jour, avec un poster de la Mecque, des exemplaires du Coran, et des ablutions rituelles avant la prière. »
Giulo Meotti : « Un autre conseiller municipal musulman, Brahim Bourzik, veut faire dessiner en divers points de la ville des emplacements où s’agenouiller en direction de la Mecque. »
Giulo Meotti : « à la mosquée Al-Nasr, l'imam Khalil al Moumni, au moment de la légalisation du mariage gay, a déclaré que les homosexuels étaient des « malades pires que des porcs ». Il a publié une brochure qui circule dans les mosquées hollandaises, qui explique qu’il faut couper la tête aux homosexuels et « l’accrocher au bâtiment le plus haut de la ville ».
Au centre d’une place se dresse une mosquée avec des inscriptions en arabe. « Avant, c’était une église » dit l’ancien journaliste de Libération.
Il ajoute « Ce n’est pas vrai du tout que Wilders recueille des voix dans les banlieues ; tout le monde le sait même si on ne le dit pas ».
Sylvain Ephimenco : « Aujourd’hui, les électeurs de Wilders sont des gens cultivés. Beaucoup d’universitaires et de gens de gauche votent pour lui. Le problème, c’est tous ces voiles islamiques. »
Sylvain Ephimenco : « Wilders n’est pas Haider. Il est de droite mais aussi de gauche, c’est un Hollandais typique. »
Sylvain Ephimenco : « Ici, il y a des horaires réservés aux femmes musulmanes à la piscine. Voilà l'origine du vote pour Wilders. Il faut arrêter l'islamisation, la folie du théâtre. »
Sylvain Ephimenco : « Les Hollandais ont peur. Wilders s’oppose au Frankenstein du multiculturalisme. »
Sylvain Ephimenco : « Moi qui étais de gauche et qui aujourd’hui ne suis plus rien du tout, je dis que nous avons atteint la limite. J’ai senti que les idéaux des Lumières étaient trahis par cet apartheid volontaire, je sens que, dans mon cœur, les idéaux d'égalité entre hommes et femmes et de liberté d'expression sont morts. Ici la gauche est conformiste et la droite a une meilleure réponse au multiculturalisme fou ».
http://www.dreuz.info/2012/01/l%E2%80%99islam-a-obtenu-sa-capitale-europeenne
vendredi 20 janvier 2012
Tariq Ramadan, invité d’honneur pour la première fois à Sciences-Po le 20 janvier
L’UEJF, SOS Racisme et Ni Putes Ni Soumises publient un communiqué concernant la venue de Tariq Ramadan à Science Po.
Tariq Ramadan est invité par l’association Salaam le 20 janvier à 19h15 pour tenir une conférence sur « l’islam politique à l’aune des révolutions arabes »
L’UEJF, SOS Racisme et Ni Putes Ni Soumises déplorent la place d’honneur faite à Tariq Ramadan, invité pour la première fois à Sciences Po.
Devant le nombre d’inscrits, l’association Salaam a même obtenu de l’IEP d’avoir le grand amphithéatre pourtant en travaux. Sciences Po a décidé d’arrêter les travaux pour faire place à Tarik Ramadan.
Rappelons que Tariq Ramadan en 2009 signe une préface avec Thierry Meyssan, pionnier des théories conspirationnistes sur le 11 septembre et grand soutien de Bachar Al-Assad. Lors d’un meeting à la Réunion, il appelle les musulmans à militer pour l’instauration de pratiques islamiques dans les piscines, propos sur lesquels il n’a jamais accepté de revenir. Proche des Frères Musulmans, en 1996 il préface les mémoires de Zaynab al-Ghazali, membre éminente de la branche féminine de ce mouvement intégriste.
Pour L’UEJF, SOS Racisme et Ni Putes Ni Soumises : « SciencesPo doit continuer d’être un lieu de débat, d’ouverture et de contestation. Nous regrettons la tribune d’honneur donnée à Tariq Ramadan. Face à cet adepte du double discours, le minimum serait de lui opposer un contradicteur.»
http://mcetv.fr/news-express/1901-tariq-ramadan-invite-d%E2%80%99honneur-pour-la-premiere-fois-a-sciences-po-le-20-janvier
Tariq Ramadan est invité par l’association Salaam le 20 janvier à 19h15 pour tenir une conférence sur « l’islam politique à l’aune des révolutions arabes »
L’UEJF, SOS Racisme et Ni Putes Ni Soumises déplorent la place d’honneur faite à Tariq Ramadan, invité pour la première fois à Sciences Po.
Devant le nombre d’inscrits, l’association Salaam a même obtenu de l’IEP d’avoir le grand amphithéatre pourtant en travaux. Sciences Po a décidé d’arrêter les travaux pour faire place à Tarik Ramadan.
Rappelons que Tariq Ramadan en 2009 signe une préface avec Thierry Meyssan, pionnier des théories conspirationnistes sur le 11 septembre et grand soutien de Bachar Al-Assad. Lors d’un meeting à la Réunion, il appelle les musulmans à militer pour l’instauration de pratiques islamiques dans les piscines, propos sur lesquels il n’a jamais accepté de revenir. Proche des Frères Musulmans, en 1996 il préface les mémoires de Zaynab al-Ghazali, membre éminente de la branche féminine de ce mouvement intégriste.
Pour L’UEJF, SOS Racisme et Ni Putes Ni Soumises : « SciencesPo doit continuer d’être un lieu de débat, d’ouverture et de contestation. Nous regrettons la tribune d’honneur donnée à Tariq Ramadan. Face à cet adepte du double discours, le minimum serait de lui opposer un contradicteur.»
http://mcetv.fr/news-express/1901-tariq-ramadan-invite-d%E2%80%99honneur-pour-la-premiere-fois-a-sciences-po-le-20-janvier
mardi 17 janvier 2012
Libé: "Les faits sont les faits. Et ne deviennent pas des mensonges quand ils proviennent de la bouche de Marine Le Pen."
Est-ce que c’est désagréable et/ou problématique de retrouver Désintox enrôlé dans la com’ de Marine Le Pen?
Quand ça l’arrange, la patronne du Front National aime beaucoup Désintox.
Lors de son dernier discours, le 15 janvier à Rouen, la patronne du FN s’est référée à un article récent de la rubrique :
«Sur l’immigration, même le journal Libération confirme que je dis la vérité aux Français, que les chiffres dramatiques que je rends publics sont les bons, malheureusement les bons, quand Guéant ment, trafique, truque, dissimule ! Oui, j’ai raison de dire que 2011 fut encore pire que l’année d’avant, encore 4 % d’immigration en plus, après 2010, déjà une année record. Un bilan qui ferait pâlir de jalousie les socialistes les plus sans-papiéristes ! «Aux questions indiscrètes réponds par un mensonge» nous dit un proverbe espagnol. Il semble que pour Guéant et Sarkozy, les chiffres de l’immigration soient une question bien indiscrète !»
Le Pen fait allusion à une note récente du blog. Nous y disions que les arguments du ministre de l’Intérieur pour dénigrer les stats de Le Pen étaient d’une mauvaise foi grossière. Guéant affirmait que l'OFII (l’Organisme émetteur des données citées par Le Pen) n’a jamais été considéré comme capable de mesurer avec fiabilité les flux migratoires. Ce qui est amusant sachant que deux ans auparavant, Eric Besson ne s’était basé que sur lesdits chiffres pour présenter le bilan annuel des flux migratoires pour 2010. Nous disions aussi que le choix de Guéant d’innover dans sa présentation des chiffres 2011 en se fiant à une estimation à chaud des délivrances de titres par les préfectures n’étaient pas forcément beaucoup plus fiable que la source retenue par Le Pen.
(...)
Les faits sont les faits. Et ne deviennent pas des mensonges quand ils proviennent de la bouche de Marine Le Pen. Nous serions finalement peu crédibles si nous étions incapables de respecter cette règle. Oui, Guéant à tort en tentant de ridiculiser comme il le fait les statistiques de Le Pen. Oui, Le Pen est fondée à les citer comme une source valable. Oui, Le Pen est fondée à dire que le gouvernement a tout fait pour rendre illisible les statistiques de l’immigration depuis trois ans.(...)
http://desintox.blogs.liberation.fr/blog/2012/01/est-ce-d%C3%A9sagr%C3%A9able-de-retrouver-un-article-de-la-rubrique-desintox-dans-un-dossier-de-presse-de-marine-le-pen-cest-ce-qui.html
Quand ça l’arrange, la patronne du Front National aime beaucoup Désintox.
Lors de son dernier discours, le 15 janvier à Rouen, la patronne du FN s’est référée à un article récent de la rubrique :
«Sur l’immigration, même le journal Libération confirme que je dis la vérité aux Français, que les chiffres dramatiques que je rends publics sont les bons, malheureusement les bons, quand Guéant ment, trafique, truque, dissimule ! Oui, j’ai raison de dire que 2011 fut encore pire que l’année d’avant, encore 4 % d’immigration en plus, après 2010, déjà une année record. Un bilan qui ferait pâlir de jalousie les socialistes les plus sans-papiéristes ! «Aux questions indiscrètes réponds par un mensonge» nous dit un proverbe espagnol. Il semble que pour Guéant et Sarkozy, les chiffres de l’immigration soient une question bien indiscrète !»
Le Pen fait allusion à une note récente du blog. Nous y disions que les arguments du ministre de l’Intérieur pour dénigrer les stats de Le Pen étaient d’une mauvaise foi grossière. Guéant affirmait que l'OFII (l’Organisme émetteur des données citées par Le Pen) n’a jamais été considéré comme capable de mesurer avec fiabilité les flux migratoires. Ce qui est amusant sachant que deux ans auparavant, Eric Besson ne s’était basé que sur lesdits chiffres pour présenter le bilan annuel des flux migratoires pour 2010. Nous disions aussi que le choix de Guéant d’innover dans sa présentation des chiffres 2011 en se fiant à une estimation à chaud des délivrances de titres par les préfectures n’étaient pas forcément beaucoup plus fiable que la source retenue par Le Pen.
(...)
Les faits sont les faits. Et ne deviennent pas des mensonges quand ils proviennent de la bouche de Marine Le Pen. Nous serions finalement peu crédibles si nous étions incapables de respecter cette règle. Oui, Guéant à tort en tentant de ridiculiser comme il le fait les statistiques de Le Pen. Oui, Le Pen est fondée à les citer comme une source valable. Oui, Le Pen est fondée à dire que le gouvernement a tout fait pour rendre illisible les statistiques de l’immigration depuis trois ans.(...)
http://desintox.blogs.liberation.fr/blog/2012/01/est-ce-d%C3%A9sagr%C3%A9able-de-retrouver-un-article-de-la-rubrique-desintox-dans-un-dossier-de-presse-de-marine-le-pen-cest-ce-qui.html
Bruxelles: 43% des écoliers suivent le cours de religion islamique (contre 8% en Wallonie)
Le financement des cultes coûte quelque 140 millions d'euros par an au budget de l'Etat belge, indique une étude du Crisp, le Centre de recherche et d'information sociopolitique. D'autres chiffres sont également intéressants, tels ceux concernant l'enseignement de ces différentes religion dans les écoles belges.
Ce montant comprend les traitements mais également les pensions des ministres des cultes, ainsi que des délégués laïques.
A cela, il faut encore ajouter 160 millions d'euros de financement par diverses entités, essentiellement consacrés aux édifices, précise la Dernière Heure, qui commente ces chiffres.
Ces interventions financières en faveur des cultes et de la laïcité sont distribuées entre le culte catholique (85,8%), la laïcité organisée (8%), le culte protestant-évangélique (2,5%), le culte islamique (2,1%), ainsi que les cultes orthodoxe, israélite et anglican.
Au niveau de l'enseignement officiel, la religion islamique est désormais nettement majoritaire à Bruxelles, et ce en primaire comme en secondaire (43% et 41,4%), loin devant la religion catholique (23,3% et 15,2%), devancée par le cours de morale (27,9% et 37,2%).
En Wallonie, les tendances s'inversent. En primaire, 52,8% des élèves de l'enseignement officiel suivent un cours de religion catholique, contre 37,3% un cours de morale et 8% celui de religion islamique. En secondaire, le cours de morale domine (64,2%) le cours de religion catholique (26,4%) et de religion islamique (7,8%).
En Flandre, dans l'enseignement primaire, 81,9% des élèves (et 81,8% en secondaire) suivent le cours de religion catholique, contre 10% (13,1%) pour le cours de morale et 6% (3,8%) celui de religion islamique.
http://www.sudpresse.be/actualite/belgique/2012-01-17/a-bruxelles-43-des-ecoliers-de-primaire-suivent-le-cours-de-religion-islamique-contre-8-en-wallonie-932020.shtml
Ce montant comprend les traitements mais également les pensions des ministres des cultes, ainsi que des délégués laïques.
A cela, il faut encore ajouter 160 millions d'euros de financement par diverses entités, essentiellement consacrés aux édifices, précise la Dernière Heure, qui commente ces chiffres.
Ces interventions financières en faveur des cultes et de la laïcité sont distribuées entre le culte catholique (85,8%), la laïcité organisée (8%), le culte protestant-évangélique (2,5%), le culte islamique (2,1%), ainsi que les cultes orthodoxe, israélite et anglican.
Au niveau de l'enseignement officiel, la religion islamique est désormais nettement majoritaire à Bruxelles, et ce en primaire comme en secondaire (43% et 41,4%), loin devant la religion catholique (23,3% et 15,2%), devancée par le cours de morale (27,9% et 37,2%).
En Wallonie, les tendances s'inversent. En primaire, 52,8% des élèves de l'enseignement officiel suivent un cours de religion catholique, contre 37,3% un cours de morale et 8% celui de religion islamique. En secondaire, le cours de morale domine (64,2%) le cours de religion catholique (26,4%) et de religion islamique (7,8%).
En Flandre, dans l'enseignement primaire, 81,9% des élèves (et 81,8% en secondaire) suivent le cours de religion catholique, contre 10% (13,1%) pour le cours de morale et 6% (3,8%) celui de religion islamique.
http://www.sudpresse.be/actualite/belgique/2012-01-17/a-bruxelles-43-des-ecoliers-de-primaire-suivent-le-cours-de-religion-islamique-contre-8-en-wallonie-932020.shtml
dimanche 8 janvier 2012
Grande-Bretagne : les députés refusent la viande halal dans leurs restaurants
On est habitué dans toute l’Europe à l’hypocrisie de l’oligarchie dominante, qui impose le multiculturalisme aux peuples tout en s’en protégeant soigneusement elle-même. Mais, aux yeux de bien des observateurs, le Parlement britannique vient de battre les records du deux poids deux mesures.
Le Parlement a en effet opposé une fin de non recevoir aux députés et membres de la chambre des Lords musulmans, qui réclamaient de la viande halal dans les restaurants et cafés du palais de Westminster – lequel n’en compte pas moins de 23 –, au motif que « la méthode – trancher la gorge d’un animal sans étourdissement – est choquante pour beaucoup de leurs collègues non-musulmans ». Le « baron Ahmed of Rotherham » (Nazir Ahmed, un militant travailliste devenu le premier pair d’Angleterre musulman par la grâce de Tony Blair) a protesté en vain contre cette décision.
Alison Ruoff, membre du Synode général de l’Église anglicane, a commenté de son côté : «C’est un peu hypocrite pour le Parlement, après avoir autorisé les autres à servir de la viande halal, de la refuser dans ses propres locaux».
En 2010, le Mail on Sunday avait révélé qu’écoles, hôpitaux et restaurants servaient d’autorité de la viande halal à leurs clients. Les principaux supermarchés (Waitrose, Marks & Spencer, Sainsbury’s, Tesco, Somerfield et Co-op) avaient tous reconnu qu’ils vendaient de la viande issue de l’abattage rituel sans en informer les consommateurs. De nombreuses chaînes de restaurations rapides, dont Domino’s Pizza, Pizza Hut, KFC, Nando’s et Subway, servent également de la viande halal à l’insu de leurs clients.
http://fr.novopress.info/106257/grande-bretagne-les-deputes-refusent-la-viande-halal-dans-leurs-restaurants/
http://www.dailymail.co.uk/news/article-2080805/We-wont-eat-halal-meat-say-MPs-peers-reject-demands-serve-Westminster.html
"Le parlement anglais deviendra musulman" por lesgranges
Shahid Malik - British MP (shaheed: Arabic term for holy martyrs; applied by Palestinians to suicide bombers)
Malik claimed £185,421 in parliamentary expenses for 2006, the highest amount claimed by any MP. His claims included £2,600 for a home cinema system, half of which was allowed by the Parliamentary fees office; £66,827 over three years (the maximum allowed) for his second home, a £65 council tax summons, and a £730 massage chair. It also emerged that Malik regularly claimed the maximum £400 a month allowance for food. Many of Malik's claims were blocked by the fees office, including claims for a portable DVD player, an iPod. He also twice attempted to claim for Remembrance Sunday wreaths. Malik was ordered to repay £1,300 for claims relating to his council tax, the massage chair and television which were both above the allowable maximum price. His appeal against repayment was rejected.
Le Parlement a en effet opposé une fin de non recevoir aux députés et membres de la chambre des Lords musulmans, qui réclamaient de la viande halal dans les restaurants et cafés du palais de Westminster – lequel n’en compte pas moins de 23 –, au motif que « la méthode – trancher la gorge d’un animal sans étourdissement – est choquante pour beaucoup de leurs collègues non-musulmans ». Le « baron Ahmed of Rotherham » (Nazir Ahmed, un militant travailliste devenu le premier pair d’Angleterre musulman par la grâce de Tony Blair) a protesté en vain contre cette décision.
Alison Ruoff, membre du Synode général de l’Église anglicane, a commenté de son côté : «C’est un peu hypocrite pour le Parlement, après avoir autorisé les autres à servir de la viande halal, de la refuser dans ses propres locaux».
En 2010, le Mail on Sunday avait révélé qu’écoles, hôpitaux et restaurants servaient d’autorité de la viande halal à leurs clients. Les principaux supermarchés (Waitrose, Marks & Spencer, Sainsbury’s, Tesco, Somerfield et Co-op) avaient tous reconnu qu’ils vendaient de la viande issue de l’abattage rituel sans en informer les consommateurs. De nombreuses chaînes de restaurations rapides, dont Domino’s Pizza, Pizza Hut, KFC, Nando’s et Subway, servent également de la viande halal à l’insu de leurs clients.
http://fr.novopress.info/106257/grande-bretagne-les-deputes-refusent-la-viande-halal-dans-leurs-restaurants/
http://www.dailymail.co.uk/news/article-2080805/We-wont-eat-halal-meat-say-MPs-peers-reject-demands-serve-Westminster.html
"Le parlement anglais deviendra musulman" por lesgranges
Shahid Malik - British MP (shaheed: Arabic term for holy martyrs; applied by Palestinians to suicide bombers)
Malik claimed £185,421 in parliamentary expenses for 2006, the highest amount claimed by any MP. His claims included £2,600 for a home cinema system, half of which was allowed by the Parliamentary fees office; £66,827 over three years (the maximum allowed) for his second home, a £65 council tax summons, and a £730 massage chair. It also emerged that Malik regularly claimed the maximum £400 a month allowance for food. Many of Malik's claims were blocked by the fees office, including claims for a portable DVD player, an iPod. He also twice attempted to claim for Remembrance Sunday wreaths. Malik was ordered to repay £1,300 for claims relating to his council tax, the massage chair and television which were both above the allowable maximum price. His appeal against repayment was rejected.
jeudi 5 janvier 2012
Des témoignages suggèrent que les sentiments jihadistes sont beaucoup plus répandus chez les musulmans aux Etats-Unis que la plupart des analystes ont été disposés à le reconnaître.
Un jeune musulman nommé Abdul Hameed Shehadeh a récemment tenté de rejoindre l'armée U. S., non pas par patriotisme, mais dans le cadre d'un plan pour surprendre des soldats américains et les assassiner au nom de l'islam et du jihad. Mais il a été interpellé et a commencé à parler. Si certaines des informations qu'il a donné aux enquêteurs sont exactes, il a exposé un réseau djihadiste aux proportions impressionnantes qui devrait mettre fin au politiquement correct et au déni dans l'approche des politiciens face au problème du djihad aux Etats-Unis.
Shedaheh a fourni au FBI des informations assez consistantes pour remplir un rapport de 22 pages, qui est si compromettant pour lui que ses avocats tentent maintenant de le supprimer...
Selon le New York Daily News, Shehadeh a été "une source de renseignements." Parmi les comploteurs djihadistes qu'il nomma "les enseignants de l'orthodoxie islamique salafiste à Brooklyn" et les musulmans qui "distillent des discours pro-jihadiste dans les mosquées ou sur les forums internet".
(...)
Une étude du Center for Religious Freedom en 2005 et une cartographie du Mapping Sharia Project de 2008 ont confirmé ces conclusions. Chacune ont montré indépendament que plus de 80% des mosquées en Amérique prêchent la haine des juifs et des chrétiens et la nécessité d'imposer la loi islamique en définitive. Tout récemment, à l'été 2011, est venu encore une autre étude qui a montré que seulement 19 pour cent des mosquées aux USA n'enseignent pas le Jihad(...)
http://www.islamisation.fr/archive/2012/01/04/les-mosquees-americaines-abritent-des-djihadistes.html
Shedaheh a fourni au FBI des informations assez consistantes pour remplir un rapport de 22 pages, qui est si compromettant pour lui que ses avocats tentent maintenant de le supprimer...
Selon le New York Daily News, Shehadeh a été "une source de renseignements." Parmi les comploteurs djihadistes qu'il nomma "les enseignants de l'orthodoxie islamique salafiste à Brooklyn" et les musulmans qui "distillent des discours pro-jihadiste dans les mosquées ou sur les forums internet".
(...)
Une étude du Center for Religious Freedom en 2005 et une cartographie du Mapping Sharia Project de 2008 ont confirmé ces conclusions. Chacune ont montré indépendament que plus de 80% des mosquées en Amérique prêchent la haine des juifs et des chrétiens et la nécessité d'imposer la loi islamique en définitive. Tout récemment, à l'été 2011, est venu encore une autre étude qui a montré que seulement 19 pour cent des mosquées aux USA n'enseignent pas le Jihad(...)
http://www.islamisation.fr/archive/2012/01/04/les-mosquees-americaines-abritent-des-djihadistes.html
mardi 3 janvier 2012
Malek Sibali, auteur de "l’islam sacrée violence" : le jihad guide la vie quotidienne des musulmans
En exclusivité pour Riposte Laïque, Nancy VERDIER relate l’entretien qu’elle a eu avec l’islamologue Malek SIBALI à propos de son livre : l’Islam, sacrée violence, paru aux Éditions de Paris. 2011 – www.editions-de-paris.fr - 10 €
Riposte Laïque : M. Sibali, vous venez de publier aux Éditions de Paris un livre intitulé « L’Islam sacrée violence ». Ne voyez-vous pas que c’est un titre choc qui condamne radicalement une croyance à laquelle plus d’un milliard de personnes dans le monde s’attachent ?
Malek Sibali : A mon avis, ce titre choque davantage les non musulmans qui ignorent totalement la vérité de l’islam, mais pas les musulmans qui sanctifient la violence et cherchent à l’occulter par tous les moyens. Les musulmans se trouvent en permanence obsédés par la guerre sainte qu’ils appellent le jihad dans la voie d’Allah. Ce jihad fait partie intégrante de leur croyance, de leur comportement comme de leur vie quotidienne. Pour cette raison, j’ai pensé, en élaborant cette anthologie, aux non musulmans, afin de leur montrer, en se référant aux textes fondateurs, le caractère sacré de la violence en islam, et par conséquent, le grand danger que représente cette croyance pour l’humanité toute entière.
Riposte Laïque : Effectivement, vous ajoutez comme sous-titre : Textes fondateurs. Quelle est la nature ou la source de ces textes que vous avez compilés ?
Malek Sibali : De prime abord, soyons clair. Je n’ai rien inventé ni ajouté. J’ai uniquement puisé dans les textes les plus sacrés de l’islam. Ces textes viennent de trois sources fondamentales et constitutives de cette croyance. D’abord, du Coran que les musulmans considèrent comme leur unique constitution, donc un livre dont le contenu demeure pour eux sacré voire intouchable, ensuite, des hadiths qui, selon les doctes de l’islam, complètent le Coran, et leur sacralité équivaut à celle du Coran. Enfin, j’ai puisé dans la biographie de Mahomet, le « beau modèle » des musulmans, qui a instauré le jihad, donc la violence. Donc, aucun musulman ne peut nier que ces trois sources ne constituent pas le socle fondamental de l’islam.
Riposte Laïque : Dans une première partie, intitulée, La violence dans le Coran, vous compilez donc des citations du Coran qui parlent de la guerre, des combats, etc. Y a-t-il effectivement une conception claire et structurée qui se dégage de ces textes ?
Malek Sibali : Sachez d’abord que la vulgate actuelle du Coran ne respecte aucun ordre logique ni chronologique ni thématique. Sachez aussi qu’il s’agit, par conséquent, d’un livre truffé de contradictions, de généralités floues, d’erreurs linguistiques, de versets insignifiants et d’absurdités littérales. Les chercheurs étaient autrefois forcés de fouiner le Coran, verset par verset afin d’identifier les thèmes évoqués et répartis en différentes sourates de ce livre et expliquer par la suite les contours d’un sujet. A travers des versets éparpillés dans différentes sourates, il n’est pas si aisé d’apercevoir une conception structurée relative à une question. Heureusement l’informatique moderne nous facilite cette tâche. Ce qui est compilé ici ce sont les versets qui parlent de la violence, du jihad ou de la guerre. Ils sont classés judicieusement en fonction de leur finalité. On y trouve par exemple des versets qui considèrent la guerre comme un devoir qui incombe à tout musulman, d’autres qui en exonèrent les malades, les handicapés et les pauvres de ce devoir ou qui stigmatisent les lâches, les méchants et les hypocrites qui cherchent à échapper à ce devoir. Donc, l’ensemble de ces versets permet de mettre en évidence de façon claire et simple la sacralité de la violence. Les prédicateurs musulmans les utilisent en permanence dans leurs prêches pour inciter leurs adeptes au djihad comme pour justifier le terrorisme islamique.
Riposte Laïque : Dans cette partie vous citez des versets qui préconisent que le dieu des musulmans, Allah, fait, lui aussi, la guerre avec les croyants. N’y trouvez-vous pas que c’est une aberration, un blasphème. Comment expliquez-vous cela ?
M. Sibali : Ce n’est pas seulement une aberration, c’est une hérésie, et même une insulte impardonnable à l’encontre d’un dieu à qui on attribue la clémence et la miséricorde. Est-ce que c’est le même dieu, qualifié de clément et miséricordieux qui peut dire dans le Coran (8,12-13) : Affermissez les croyants. Je me charge de jeter la terreur dans le coeur des mécréants. Frappez leur cou et leurs doigts…
Effectivement, c’est là où se manifestent les conceptions contradictoires dans les enseignements de l’islam. Plus de vingt versets dans le Coran, compilés dans cette partie, évoquent Allah comme un dieu guerrier, belliqueux, terroriste, sanguinaire, sadique, un dieu qui aime ceux qui vont jusqu’à tuer pour sa cause, qu’il se tient auprès des moudjahidin et envoie à leur secours cinq mille de ses anges bien équipés, qu’il se charge de jeter la terreur dans les cœurs des mécréants, qu’il donne la permission à ses combattants d’anéantir ses ennemis, etc. En effet, tout être humain, croyant ou incroyant, a le droit de s’interroger quant à la nature de ce dieu prétendu tantôt clément et miséricordieux et tantôt vengeur, humiliateur, meurtrier ? Pédagogues et psychologues conviennent tous qu’une telle conception de ce dieu ne peut engendrer que des adeptes schizophrènes, violents, guerriers, terroristes.
Riposte Laïque : Il y a également des versets qui évoquent le djihad contre les mécréants. Qui sont les mécréants visés dans ces versets ?
Malek Sibali : Le Coran est clair. Les mécréants sont ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, n’interdisent pas ce qu’Allah et son prophète ont défendu. Il ordonne clairement à ses adeptes, les croyants musulmans, de saisir les mécréants et de les tuer partout où ils les rencontrent. Le Coran foisonne de ces versets qui exhortent les musulmans à tuer les mécréants, notamment les juifs et les chrétiens. Rappelez-vous que l’Arabie, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord étaient autrefois peuplés de juifs et de chrétiens. Qu’est-ce qui en reste aujourd’hui ? Cette persécution des chrétiens n’a jamais cessé depuis l’avènement de l’islam. Nous sommes aujourd’hui des témoins oculaires des massacres perpétrés contre les chrétiens en Irak comme en Égypte. Dans ce pays, la chasse aux chrétiens est devenue quasi officielle. C’est l’armée aujourd’hui qui s’en charge et participe sauvagement à ces massacres. Tout cela se déroule devant les caméras des télévisions du monde entier au nom de l’islam et des enseignements du Coran. Ce qui est encore plus frappant, c’est le silence du monde dit civilisé, mais devenu esclave. Il n’ose pas déranger ses maîtres, les monarchies pétrolières, qui cherchent à appliquer à la lettre la charia de l’islam partout dans le monde.
Riposte Laïque : Vous signalez que ce livre est destiné aux non musulmans plutôt qu’aux musulmans. Et pourtant, les versets coraniques qui y sont compilés, vous les citez en français comme en arabe. Est-ce que les non musulmans notamment les Français, vont les lire en arabe ? Quelle en est donc la raison ?
Malek Sibali : La raison est simple. Je voudrais mettre un terme à cette polémique ridicule avec les interlocuteurs musulmans qui, chaque fois lorsqu’on leur cite un de ces versets violents, agressifs et indignes d’un prétendu apôtre d’Allah, affirment avec arrogance et colère devant leurs interlocuteurs occidentaux qui ignorent évidemment la langue du Coran, que ces versets n’existent pas ou sont mal traduits. Eh bien, ces versets sont reproduits ici, de façon délibérée, en arabe comme en français. Que les musulmans dits bons connaisseurs du Coran, veuillent bien nous prouver, noir sur blanc, si ces versets n’existent pas dans le Coran ou si la traduction ne correspond pas à l’original.
Riposte Laïque : Vous citez également des versets qui expliquent comment les combattants sont récompensés.
Malek Sibali : En effet, on trouve dans le Coran une quinzaine de versets qui incitent et stimulent les musulmans à faire la guerre, afin d’être récompensés sur terre par le butin ramassé et dans le paradis islamique par les jouissances sexuelles avec les houris. Sachez que ce sont ces versets qu’on récite de façon euphorique lors de l’enterrement des combattants musulmans considérés comme martyrs.
Riposte Laïque : Outre la violence dans le Coran, vous consacrez une partie à la violence dans les Hadiths ?
Malek Sibali : Oui, les Hadiths sont des propos et des actions attribués à Mahomet et constituent une source fondamentale de l’enseignement religieux et juridique en islam. Pour cette raison, les musulmans vénèrent les hadiths autant que le Coran. Pour les religieux musulmans, les Hadiths sont les premiers commentaires du Coran ainsi que son explication. En effet, c’est dans les Hadiths que Mahomet impose les châtiments corporels, la loi de talion, la lapidation, les meurtres et les exécutions. C’est dans les hadiths que Mahomet ordonne le meurtre des apostats. « Celui qui quitte la religion de l’islam, tuez-le. » Dans cette anthologie, vous trouvez une centaine de hadiths consacrés à la violence, aux châtiments de crime comme à l’agression et le meurtre. Les doctes de l’islam s’y réfèrent fréquemment et s’en inspirent pour décréter des fatwas ou condamner les auteurs libéraux ou les apostats.
Riposte Laïque : La troisième partie de ce livre s’intitule Mahomet, le beau modèle des musulmans. Quel est le rapport de cette partie avec la violence ?
Malek Sabali : Cette partie passe en revue comment Mahomet a, durant sa vie et ses conquêtes militaires, instauré la notion du djihad, la guerre sainte. Durant son séjour à Médine, de 622 et jusqu’à sa mort, il s’est imposé comme un chef de guerre, un redoutable guerrier déterminé à propager l’islam par la force. Les musulmans le considèrent comme leur beau modèle. Ils cherchent à l’imiter, donc à mettre en application les mêmes méthodes belliqueuses que lui. Les biographies officielles de Mahomet illustrent ses conquêtes militaires, ses razzias, ses crimes à l’encontre des juifs et la persécution ainsi que l’assassinat de ses ennemis. Les musulmans sont sensés suivre le même chemin. Bref, ce sont donc le Coran, les hadiths et la biographie de Mahomet qui sont enseignés comme matières principales dans les écoles et les universités islamiques. Les musulmans y puisent et s’en nourrissent.
Riposte Laïque : Vous avez ajouté en annexe certains textes traduits de l’arabe ou de l’anglais. Quel est l’intérêt de ces textes dans ce livre ?
Malek Sibali : Les textes ajoutés en annexe sont rédigés par des auteurs musulmans désemparés qui condamnent la religion dans laquelle ils sont nés et ses aberrations ainsi que son impact destructif sur l’humanité. Ils ont osé se révolter contre l’enseignement et la doctrine de l’islam qu’ils connaissent mieux que quiconque. Ils font partie de ces nombreux musulmans contestataires de l’islam. Ils risquent leur vie. Ils ont, contre vent et marées, franchi le Rubicon avec courage et héroïsme. A titre d’exemple, on trouve un journaliste syrien qui parle de la disgrâce ou de la malédiction de l’islam pour l’humanité, alors qu’un ancien imam azharite détaille tous les aspects de la barbarie dans le Coran.
Riposte Laïque : En somme, quel est l’objectif de ce livre ?
Malek Sibali : « L’indifférence est la pire des attitudes. » nous dit Stéphane Hessel. Donc, il n’est pas nécessaire d’afficher un objectif mais d’agir. Face à la vague d’islamisation qui secoue le monde libre et menace l’humanité, ainsi que nos valeurs, nos libertés, et surtout l’avenir de nos enfants, il est criminel de garder le silence ou de rester indifférent. À qui sait comprendre peu de mots suffisent.
Riposte Laïque : M. Sibali, vous venez de publier aux Éditions de Paris un livre intitulé « L’Islam sacrée violence ». Ne voyez-vous pas que c’est un titre choc qui condamne radicalement une croyance à laquelle plus d’un milliard de personnes dans le monde s’attachent ?
Malek Sibali : A mon avis, ce titre choque davantage les non musulmans qui ignorent totalement la vérité de l’islam, mais pas les musulmans qui sanctifient la violence et cherchent à l’occulter par tous les moyens. Les musulmans se trouvent en permanence obsédés par la guerre sainte qu’ils appellent le jihad dans la voie d’Allah. Ce jihad fait partie intégrante de leur croyance, de leur comportement comme de leur vie quotidienne. Pour cette raison, j’ai pensé, en élaborant cette anthologie, aux non musulmans, afin de leur montrer, en se référant aux textes fondateurs, le caractère sacré de la violence en islam, et par conséquent, le grand danger que représente cette croyance pour l’humanité toute entière.
Riposte Laïque : Effectivement, vous ajoutez comme sous-titre : Textes fondateurs. Quelle est la nature ou la source de ces textes que vous avez compilés ?
Malek Sibali : De prime abord, soyons clair. Je n’ai rien inventé ni ajouté. J’ai uniquement puisé dans les textes les plus sacrés de l’islam. Ces textes viennent de trois sources fondamentales et constitutives de cette croyance. D’abord, du Coran que les musulmans considèrent comme leur unique constitution, donc un livre dont le contenu demeure pour eux sacré voire intouchable, ensuite, des hadiths qui, selon les doctes de l’islam, complètent le Coran, et leur sacralité équivaut à celle du Coran. Enfin, j’ai puisé dans la biographie de Mahomet, le « beau modèle » des musulmans, qui a instauré le jihad, donc la violence. Donc, aucun musulman ne peut nier que ces trois sources ne constituent pas le socle fondamental de l’islam.
Riposte Laïque : Dans une première partie, intitulée, La violence dans le Coran, vous compilez donc des citations du Coran qui parlent de la guerre, des combats, etc. Y a-t-il effectivement une conception claire et structurée qui se dégage de ces textes ?
Malek Sibali : Sachez d’abord que la vulgate actuelle du Coran ne respecte aucun ordre logique ni chronologique ni thématique. Sachez aussi qu’il s’agit, par conséquent, d’un livre truffé de contradictions, de généralités floues, d’erreurs linguistiques, de versets insignifiants et d’absurdités littérales. Les chercheurs étaient autrefois forcés de fouiner le Coran, verset par verset afin d’identifier les thèmes évoqués et répartis en différentes sourates de ce livre et expliquer par la suite les contours d’un sujet. A travers des versets éparpillés dans différentes sourates, il n’est pas si aisé d’apercevoir une conception structurée relative à une question. Heureusement l’informatique moderne nous facilite cette tâche. Ce qui est compilé ici ce sont les versets qui parlent de la violence, du jihad ou de la guerre. Ils sont classés judicieusement en fonction de leur finalité. On y trouve par exemple des versets qui considèrent la guerre comme un devoir qui incombe à tout musulman, d’autres qui en exonèrent les malades, les handicapés et les pauvres de ce devoir ou qui stigmatisent les lâches, les méchants et les hypocrites qui cherchent à échapper à ce devoir. Donc, l’ensemble de ces versets permet de mettre en évidence de façon claire et simple la sacralité de la violence. Les prédicateurs musulmans les utilisent en permanence dans leurs prêches pour inciter leurs adeptes au djihad comme pour justifier le terrorisme islamique.
Riposte Laïque : Dans cette partie vous citez des versets qui préconisent que le dieu des musulmans, Allah, fait, lui aussi, la guerre avec les croyants. N’y trouvez-vous pas que c’est une aberration, un blasphème. Comment expliquez-vous cela ?
M. Sibali : Ce n’est pas seulement une aberration, c’est une hérésie, et même une insulte impardonnable à l’encontre d’un dieu à qui on attribue la clémence et la miséricorde. Est-ce que c’est le même dieu, qualifié de clément et miséricordieux qui peut dire dans le Coran (8,12-13) : Affermissez les croyants. Je me charge de jeter la terreur dans le coeur des mécréants. Frappez leur cou et leurs doigts…
Effectivement, c’est là où se manifestent les conceptions contradictoires dans les enseignements de l’islam. Plus de vingt versets dans le Coran, compilés dans cette partie, évoquent Allah comme un dieu guerrier, belliqueux, terroriste, sanguinaire, sadique, un dieu qui aime ceux qui vont jusqu’à tuer pour sa cause, qu’il se tient auprès des moudjahidin et envoie à leur secours cinq mille de ses anges bien équipés, qu’il se charge de jeter la terreur dans les cœurs des mécréants, qu’il donne la permission à ses combattants d’anéantir ses ennemis, etc. En effet, tout être humain, croyant ou incroyant, a le droit de s’interroger quant à la nature de ce dieu prétendu tantôt clément et miséricordieux et tantôt vengeur, humiliateur, meurtrier ? Pédagogues et psychologues conviennent tous qu’une telle conception de ce dieu ne peut engendrer que des adeptes schizophrènes, violents, guerriers, terroristes.
Riposte Laïque : Il y a également des versets qui évoquent le djihad contre les mécréants. Qui sont les mécréants visés dans ces versets ?
Malek Sibali : Le Coran est clair. Les mécréants sont ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, n’interdisent pas ce qu’Allah et son prophète ont défendu. Il ordonne clairement à ses adeptes, les croyants musulmans, de saisir les mécréants et de les tuer partout où ils les rencontrent. Le Coran foisonne de ces versets qui exhortent les musulmans à tuer les mécréants, notamment les juifs et les chrétiens. Rappelez-vous que l’Arabie, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord étaient autrefois peuplés de juifs et de chrétiens. Qu’est-ce qui en reste aujourd’hui ? Cette persécution des chrétiens n’a jamais cessé depuis l’avènement de l’islam. Nous sommes aujourd’hui des témoins oculaires des massacres perpétrés contre les chrétiens en Irak comme en Égypte. Dans ce pays, la chasse aux chrétiens est devenue quasi officielle. C’est l’armée aujourd’hui qui s’en charge et participe sauvagement à ces massacres. Tout cela se déroule devant les caméras des télévisions du monde entier au nom de l’islam et des enseignements du Coran. Ce qui est encore plus frappant, c’est le silence du monde dit civilisé, mais devenu esclave. Il n’ose pas déranger ses maîtres, les monarchies pétrolières, qui cherchent à appliquer à la lettre la charia de l’islam partout dans le monde.
Riposte Laïque : Vous signalez que ce livre est destiné aux non musulmans plutôt qu’aux musulmans. Et pourtant, les versets coraniques qui y sont compilés, vous les citez en français comme en arabe. Est-ce que les non musulmans notamment les Français, vont les lire en arabe ? Quelle en est donc la raison ?
Malek Sibali : La raison est simple. Je voudrais mettre un terme à cette polémique ridicule avec les interlocuteurs musulmans qui, chaque fois lorsqu’on leur cite un de ces versets violents, agressifs et indignes d’un prétendu apôtre d’Allah, affirment avec arrogance et colère devant leurs interlocuteurs occidentaux qui ignorent évidemment la langue du Coran, que ces versets n’existent pas ou sont mal traduits. Eh bien, ces versets sont reproduits ici, de façon délibérée, en arabe comme en français. Que les musulmans dits bons connaisseurs du Coran, veuillent bien nous prouver, noir sur blanc, si ces versets n’existent pas dans le Coran ou si la traduction ne correspond pas à l’original.
Riposte Laïque : Vous citez également des versets qui expliquent comment les combattants sont récompensés.
Malek Sibali : En effet, on trouve dans le Coran une quinzaine de versets qui incitent et stimulent les musulmans à faire la guerre, afin d’être récompensés sur terre par le butin ramassé et dans le paradis islamique par les jouissances sexuelles avec les houris. Sachez que ce sont ces versets qu’on récite de façon euphorique lors de l’enterrement des combattants musulmans considérés comme martyrs.
Riposte Laïque : Outre la violence dans le Coran, vous consacrez une partie à la violence dans les Hadiths ?
Malek Sibali : Oui, les Hadiths sont des propos et des actions attribués à Mahomet et constituent une source fondamentale de l’enseignement religieux et juridique en islam. Pour cette raison, les musulmans vénèrent les hadiths autant que le Coran. Pour les religieux musulmans, les Hadiths sont les premiers commentaires du Coran ainsi que son explication. En effet, c’est dans les Hadiths que Mahomet impose les châtiments corporels, la loi de talion, la lapidation, les meurtres et les exécutions. C’est dans les hadiths que Mahomet ordonne le meurtre des apostats. « Celui qui quitte la religion de l’islam, tuez-le. » Dans cette anthologie, vous trouvez une centaine de hadiths consacrés à la violence, aux châtiments de crime comme à l’agression et le meurtre. Les doctes de l’islam s’y réfèrent fréquemment et s’en inspirent pour décréter des fatwas ou condamner les auteurs libéraux ou les apostats.
Riposte Laïque : La troisième partie de ce livre s’intitule Mahomet, le beau modèle des musulmans. Quel est le rapport de cette partie avec la violence ?
Malek Sabali : Cette partie passe en revue comment Mahomet a, durant sa vie et ses conquêtes militaires, instauré la notion du djihad, la guerre sainte. Durant son séjour à Médine, de 622 et jusqu’à sa mort, il s’est imposé comme un chef de guerre, un redoutable guerrier déterminé à propager l’islam par la force. Les musulmans le considèrent comme leur beau modèle. Ils cherchent à l’imiter, donc à mettre en application les mêmes méthodes belliqueuses que lui. Les biographies officielles de Mahomet illustrent ses conquêtes militaires, ses razzias, ses crimes à l’encontre des juifs et la persécution ainsi que l’assassinat de ses ennemis. Les musulmans sont sensés suivre le même chemin. Bref, ce sont donc le Coran, les hadiths et la biographie de Mahomet qui sont enseignés comme matières principales dans les écoles et les universités islamiques. Les musulmans y puisent et s’en nourrissent.
Riposte Laïque : Vous avez ajouté en annexe certains textes traduits de l’arabe ou de l’anglais. Quel est l’intérêt de ces textes dans ce livre ?
Malek Sibali : Les textes ajoutés en annexe sont rédigés par des auteurs musulmans désemparés qui condamnent la religion dans laquelle ils sont nés et ses aberrations ainsi que son impact destructif sur l’humanité. Ils ont osé se révolter contre l’enseignement et la doctrine de l’islam qu’ils connaissent mieux que quiconque. Ils font partie de ces nombreux musulmans contestataires de l’islam. Ils risquent leur vie. Ils ont, contre vent et marées, franchi le Rubicon avec courage et héroïsme. A titre d’exemple, on trouve un journaliste syrien qui parle de la disgrâce ou de la malédiction de l’islam pour l’humanité, alors qu’un ancien imam azharite détaille tous les aspects de la barbarie dans le Coran.
Riposte Laïque : En somme, quel est l’objectif de ce livre ?
Malek Sibali : « L’indifférence est la pire des attitudes. » nous dit Stéphane Hessel. Donc, il n’est pas nécessaire d’afficher un objectif mais d’agir. Face à la vague d’islamisation qui secoue le monde libre et menace l’humanité, ainsi que nos valeurs, nos libertés, et surtout l’avenir de nos enfants, il est criminel de garder le silence ou de rester indifférent. À qui sait comprendre peu de mots suffisent.
Du phosphore blanc trouvé dans les missiles du Hamas
On se souvient que, lors de l’opération Plomb Durci, Israël avait envoyé des missiles légèrement chargés en phosphore blanc à Gaza. La communauté internationale s’était indignée malgré le fait que ces missiles respectent les conventions internationales (avec un taux de phosphore inférieur à la limite autorisée). Dès lors, pourquoi, lorsque le Hamas envoie des missiles au phosphore sur les populations civiles israéliennes, personne ne bouge… Comme ce fût le cas hier !
Les deux obus de mortier tirés dimanche matin depuis la bande de Gaza sur le conseil régional israélien d’Eshkol contenait bel et bien du phosphore. Les obus sont tombés, fort heureusement, sur un champ ouvert et n’ont pas causé de blessures ou de dommages. Mais si des Israéliens avaient été blessés, cela aurait-il changé quelque chose aux yeux des diplomates internationaux ? Pas plus que par le passé !
Selon la police du district du Néguev, les charges contenaient un taux de phosphore très élevé, bien au-dessus de ce que le droit international autorise. Les personnes exposées au phosphore blanc pourraient souffrir de graves brûlures et d’autres blessures plus ou moins importantes.
Le chef du conseil régional d’Eshkol a expliqué que «c’est la quatrième fois qu’ils font feu avec des obus de mortier contenant du phosphore blanc. Nous allons porter plainte auprès des Nations Unies, comme nous l’avons fait dans le passé. “
Une année qui commence bien mal pour les habitants israéliens du sud… Alors même que Tsahal s’est dit prêt, la semaine dernière, à une attaque de grande envergure sur Gaza pour faire taire les canons qui y chantent. De son côté, le premier ministre islamiste de Turquie a affirmé dimanche, lors d’une visite officielle d’un leader du Hamas, que “la paix israélo-palestinienne doit obligatoirement passer par le Hamas.” Sacré modéré cet Erdogan !
http://jssnews.com/2012/01/02/du-phosphore-blanc-trouve-dans-les-missiles-du-hamas/
Les deux obus de mortier tirés dimanche matin depuis la bande de Gaza sur le conseil régional israélien d’Eshkol contenait bel et bien du phosphore. Les obus sont tombés, fort heureusement, sur un champ ouvert et n’ont pas causé de blessures ou de dommages. Mais si des Israéliens avaient été blessés, cela aurait-il changé quelque chose aux yeux des diplomates internationaux ? Pas plus que par le passé !
Selon la police du district du Néguev, les charges contenaient un taux de phosphore très élevé, bien au-dessus de ce que le droit international autorise. Les personnes exposées au phosphore blanc pourraient souffrir de graves brûlures et d’autres blessures plus ou moins importantes.
Le chef du conseil régional d’Eshkol a expliqué que «c’est la quatrième fois qu’ils font feu avec des obus de mortier contenant du phosphore blanc. Nous allons porter plainte auprès des Nations Unies, comme nous l’avons fait dans le passé. “
Une année qui commence bien mal pour les habitants israéliens du sud… Alors même que Tsahal s’est dit prêt, la semaine dernière, à une attaque de grande envergure sur Gaza pour faire taire les canons qui y chantent. De son côté, le premier ministre islamiste de Turquie a affirmé dimanche, lors d’une visite officielle d’un leader du Hamas, que “la paix israélo-palestinienne doit obligatoirement passer par le Hamas.” Sacré modéré cet Erdogan !
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