En France, la délinquance a « une dimension ethnique » puisque les « deux tiers des mineurs délinquants sont d’origine étrangère » (Etude sur les dossiers des mineurs jugés par le tribunal de Grenoble (Isère) entre 1985 et 2000 par deux sociologues du CNRS Sébastian Roché et Monique Dagnaud).
Les délinquants sont à une écrasante majorité d’origine étrangère et afro-maghrébine: « J’ai vu une liste de 3 000 auteurs de violences urbaines établie par les RG parisiens, et il n’y avait que 59 noms « gaulois » » Xavier Raufer, criminologue, (Le Point,17.01.07)
Comme l’avouera Julien Dray, fondateur de Sos-Racisme et porte-parole du PS, dans son livre « Etat de violence » : « incendies de voitures, rackets, viols. Les violences prennent de préférence pour cibles les « Babtous », c’est-à-dire les Blancs ».
Il y a une dizaine d’années, le commissaire Lucienne Bui Trong, chargée des violences urbaines à la Direction centrale des RG, relevait que 85 % de leurs auteurs étaient d’origine maghrébine et qu’ils agissaient en raison d’une sorte de « paranoïa » vis-à-vis de la société française (Le Point, 24/06/04).
Les délinquants sont motivés par la haine, « Ils se disent « Toi, le petit Blanc, je vais te foutre le nez dans ta peur »(Libération, 16.04.05). Ils agissent par vengeance contre les colonisateurs, esclavagistes, racistes et riches que les français de souche seraient, car « à tort ou à raison, il y a une mémoire collective d’un exercice de l’oppression française » (Sebastian Roché, Le Point, 24/06/04).
Egérie de la communauté noire, l'écrivaine Calixte Beyala, qui a mené à la fin des années 90 le combat pour une plus grande représentativité des Blacks dans la société française, est effarée par la violence de cette nouvelle génération. " Ils ne se mélangent pas. Ils vivent entre eux comme dans une secte avec le rap en toile de fond et le business qui se cristallise dessus. Ils disent qu'ils font la guerre à la France, mais ils n'ont aucune conscience politique structurée. Leur bannière de ralliement, c'est l'esclavage et le racisme anti-blanc." (Le Point. Publié le 17/01/2007 )
Pour Dominique Doukhan-Zyngierman « les gars de la cité n’aiment pas les « petits bourges blancs »: Ils ne font pas partie du même monde. La société s’est vraiment coupée en deux, et on va vers des relations très dures ». (ENQUÊTE SUR LES DEUX JEUNESSES FRANÇAISES Marianne Samedi 19 Février 2005)
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